En réponse à..

Qu’il est lourd à porter le silence de l’autre !

Difficile de poursuivre l’amour lorsqu’il veut s’envoler, difficile de se faire entendre par des oreilles sourdes !

Un très beau poème Sylvain.

Merci.

Ces lignes sont là pour alléger ce fardeau, le rendre plus supportable. Et les commentaires reçus à ce sujet sont de véritable lumières, emmenant la peine un peu plus loin chaque fois.
Merci à toi Delphine !
Amitié, Sylvain.

Deux, trois mots, quelques traces, quelques riens, des petits bouts de soi que l’on laisse s’évaporer dans la chaleur des souvenirs, quelques fleurs qui flétrissent sans leur sève et avec leur trop peu d’eau ... Deux, trois mots, non entendus dans leur blancheur, qui laissent s’installer les ombres du silence et les poussières de l’absence.
Un temps de nostalgie qui j’espère, s’atténuera bien vite, Sylvain ... )
Toute mon Amitié.
Marie.

"Les poussières de l’abscence"... Oui. Mais j’ai fait un peu de ménage ces temps-ci, et tout en moi, retrouve l’éclat jadis ternis par un manque déraisonné... Aussi l’heure n’est plus à la nostalgie mais à un nouveau départ depuis longtemps espéré !
Un désir, une volonté, de changement profond, déclenché peut-être par les ailes d’un oiseau rare aux plumes éblouissantes !
Mon amitié pour toi.
Sylvain.

Deux, trois mots qui j’espère seront lus, entendus et ressentis.
Si ce n’est pas le cas j’espère que de les avoir posés sur le papier t’allègera le cœur, et qu’il te poussera des ailes pour voler vers un nouvel amour.
Bien à toi. Clo

Eh bien Clo, tu as tout dit... Ces mots n’ont été que lus. Ni entendus, ni ressentis... Pas facile de courir après un oiseau ! Mais depuis, mon cœur s’est vu pousser des ailes, et je peux, enfin, aller me poser un peu plus loin.
Merci Clo, le temps me manque parfois pour laisser des messages, mais promis, je deposerais quelques lettres au bas de tes écrits...
Amitié, Sylvain.