En réponse à..

J’ai lu d’une traite, je me suis laissée entraîner... jusqu’à cette fin surprenante, ce "décollage" alors que nous suivions les rails de la vie d’une société de consommation.
Un aiguillage joliment négocié. Sourire

Pour la petite histoire, je l’ai vraiment écrit dans le train, en direct, au fur et à mesure de ce que je voyais, donc rien de vraiment inventé.

Contraste saisissant entre le début du texte où les couleurs et l’ambiance sont douces et agrèables et la suite où la réalité morne et agressive revient en force.
Se détacher du monde, s’échapper par l’imaginaire, voilà peut-être la solution miracle pour continuer à vivre au milieu de l’indifférence...
Merci.

Pour moi, l’idée n’était pas la fuite dans l’imaginaire, mais plutôt une transcription d’impressions vécues, pour transmettre l’étrangeté de cette société.