L’Automne du poilu 21 octobre 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Dis donc Jacques, il ne devrait pas être dans une autre rubrique ce poème par hasard ?
J’ai beaucoup aimé ce mélange de sensations que tu as su recréer, peur, lassitude et ce petit moment de bonheur qu’on s’autorisait parfois au milieu de l’horreur.
En lisant ton poème, j’ai repensé à ce magnifique film intitulé La chambre des officiers.
Merci pour cet émouvant poème.
L’Automne du poilu 23 octobre 2006, Jacques Collie IP:56c7f9eaaf47a3b2
Etourdi !!! Voilà ce que je suis !
Tu as raison pour "La chambre des Officiers" ; et c’était aussi vrai pour les pipes
en porcelaine, aussi fragiles que la vie de leurs possesseurs. Elles furent peu à peu remplacées par des pipes en bruyère...
Amitiés
L’Automne du poilu 19 octobre 2006, Marie L.T IP:6043ff377285b7da
Euh ... c’est tout ce que j’ai à dire, un seul mot : Excellent !
Bravo, Jacques pour ce texte 
Amitié.
Marie.
L’Automne du poilu 23 octobre 2006, Jacques Collie IP:56c7f9eaaf47a3b2
Merci de ta lecture.
Les pipes de bruyère étaient plus solides...
les hommes continuent de mourir !
Amitiés
L’Automne du poilu 18 octobre 2006, Eric Bourdon IP:670655a9dce61fe2
au milieu de l’enfer il reste des bribes de sensations qui prouvent que l’on est toujours vivant ... très beau texte Jaco.
Amitiés Eric
L’Automne du poilu 23 octobre 2006, Jacques Collie IP:56c7f9eaaf47a3b2
Et cette sensation part en fumée... qui tue elle-même, comme quoi la mort nous encercle, nous aspire !
Amitiés