En réponse à..

Ton texte, toujours aussi bien écrit, Delphine, m’a fait penser à "L’alchimiste", ce livre de Coelho : la quête du "bonheur" ailleurs, alors qu’il est souvent, là, tout près, à portée de la main ...

Brûler de manière symbolique une photo, n’enlève jamais je pense le souvenir d’un amour que l’on a pu éprouver un jour ... mais on s’imagine que cela clos quelquechose !

Amicalement.
Marie.

Ton commentaire me touche beaucoup Marie car Paulo Coelho est un de mes auteurs préférés et ce livre L’Alchimiste reste sans aucun doute mon favori, lu et relu à plusieurs reprises car il m’apporte une grande sérénité.

Le bonheur est souvent sous nos yeux et pourtant nous sommes incapables de le voir tout occupés que nous sommes à regarder au loin.

C’est vrai que brûler ou déchirer une photo ne permet pas d’oublier, c’est simplement une façon de tourner une page.

Merci de ta lecture et de ton commentaire.

Amitiés.

dure est ce sentiment, quand on brûle la photo du temps des jours heureux..mais il fallait le faire puisque ce cœur ne battait plus comme avant...
lorsque la personne n’est plus la même..on sent un poids sur le cœur, en tout les cas un poids trés lourd.
trés beau texte Delph
bises

Il y a parfois des pages qu’il faut savoir tourner et même si brûler le passé est très difficile et très douloureux, c’est souvent nécessaire.

Que faire lorsque l’amour n’est plus qu’un souvenir et que le présent n’est plus que souffrance ?

Merci de ta lecture Spica.

Bises.

Et la page du livre-temps se tourna, l’histoire d’un mot...

Réal

Eh oui, et pourtant qu’elles sont difficiles à tourner ces pages...

Merci Réal.