En réponse à..

Bien sur que non il ne faut pas se résigner, jamais.
Les générations passent, les matraques restent.
Toujours d’actualité.

J’ai aimé ce témoignage.

Amitiés.
Pascal.

Merci Pascal, et celui-là c’est du vécu. Bon y’a longtemps que je fais plus le guignol devant la maréchaussée, avec l’âge, on devient sages
Amitiés

Je n’avais pas lu ce texte, je ne suis arrivée qu’en mai mais pas en 68 ( sourire). Rester dans les rangs et ne rien dire n’est pas pas mon créneau, je serais du genre à foutre les bombes mais comme cela tue, j’agis autrement même si cela avance moins vite. Bravo pour ton texte

J’te rassures Aime, en 68 j’avais que 10 ans, par contre ce petit texte je l’ai vécu et crois moi, c’était pas du virtuel, inutile de préciser que je faisais partie non pas de ceux qui jettaient les cailloux mais de ceux qui se sont carapatés...

Mais quand j’t pense c’est un bon souvenir.

Merci pour ta lecture

Encore !!!! je réponds aux coms, et ils n’apparaissent, pourtant je fais tout comme il faut, je valide et tout et tout...

Alors je reprend, en Mai 68 je n’avais que 10 ans, donc j’ai pas connu, mais il n’empêche que ce texte à été du vécu, et que j’en garde malgrès tout un excellent souvenir.

Merci Aime, pour ton com et ta lecture

Petit goût de mai 68, j’ai lu ton texte au rythme d’une marche - Zoom arrière, je revois les pavés qui volaient très bas

Excellent ton texte

J’avais que 10 ans en 68 mais depuis j’ai eu l’occasion de m’affronter avec eux, et le texte que tu as lu est très peu carricaturé.

Enfin un peu quand même....

Merci Geneviève, bises