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Un texte superbe Delphine.

Pour moi c’est le taureau qui devrait être sur la colline. J’ai horreur de ce genre de spéctacle.

Bisous Genou

Je suis comme toi Genou, je déteste cette coutume...tellement barbare et si peu représentative de l’âme espagnole...

Dans le sud de l’Espagne, la marque Osborne place des silhouettes de taureau sur les collines...c’est magique...

Merci Genou de ta fidélité...

Bisous.

Alors, je ne suis pas sur d’être le mieux placé pour commenter ton texte, en tant qu’afficionado, mais j’ai une admiration sans bornes pour ces taureaux, sauf que je regrette une chose, ... ce serait magnifique si le taureau retournait à la liberté lorsqu’il gagna son combat, malheureusement ce n’est pas le cas, car sauf exception extrèmement rare, (la grace accordée par la présidence) il est quand même mis à mort. Je le regrette, mais il y a une expliquation à celà.

Ton texte est superbe Delph et le sujet aussi

Tout doit dépendre des provinces car en Andalousie j’ai vu bon nombre de ces victorieux portant encore des cicatrices immondes sur le dos paissant séreinement au milieu des manades...

Toi, un aficionado ? Quelle déception...!!! ;o)

Je ne comprendrai jamais le plaisir que l’on trouve dans pareille abomination...

Merci de ta lecture Roland...

Vous êtes une indéniable romantique et c’est toujours ravissement de vous suivre, notamment en terres hispaniques où votre aisance à manier le verbe concrétise cette passion que vous savez rendre palpable. Qu’il soit taureau, qu’il soit toréador ... qu’importe (observez les espaces entre les trois points, cela dit comme ça) votre personnage rentre dans la légende.

Flamenco, banderilles, oliveraies ou sols désertiques : tout ressurgit à mes yeux y compris cette hacienda, au pied de la colline, où j’aimerais vous contempler.

Ah l’Espagne..! Un peu de sang andalou coule dans mes veines..!

Elle m’inspire toujours cette merveilleuse terre et j’aime les histoires qui finissent bien...

Merci de votre visite dans l’arène...