En réponse à..

Je t’ai déjà dit que je vivais en cité, je ne crois pas avoir et tatouée. Mais je comprends tes mots et parfois ta colère. Je ressens beaucoup de tristesse dans tes textes. Amitiés

Ce n’est pas ma colère mais celle des jeunes qui m’entoure je ne fait que m’en imprégner pour mieux vous les retranscrire quand à la tristesse de mes textes elle est simplement à la hauteur de ce qu’est devenue notre existence.
Amitiés

Triste réalité que celle-là...Les jeunes des cités n’ont plus de rêves, plus d’espoir et tout cela les pousse dans une spirale infernale....Bien vu Gilles...

Leurs rêves dépassent souvent la réalité et c’est ce qui les pousse à faire des actes répréhensibles
merci de ton commentaire..

Ce qui me trouble lorsque je parle à des jeunes des cités c’est de constater qu’ils n’ont plus de rêves... Et que la réalité dans laquelle ils évoluent n’est que lutte, combat, défi...
Enfin c’est ce que je ressens, pourtant ils sont attachant ces jeunes-là pris isolément.
Sourire

Comme je le disais à delphine, leurs rêves depassent
la fiction.