En réponse à..

C’est presque une chanson, un rondeau et je me suis laissé bercer par cette musique du bord de mer.
La forme de ton poème et son étrange douceur me plaît beaucoup Delphine, comme si j’allais m’envoler avec mon aile bleue : mon parapente est prêt, pousse-moi... Je vooooole, je m’envole au dessus de l’aiguille creuse.

Non Delph, ne le fais pas sans le parap... Bon ! J’ te rattrape avec le mien. On atterrit sur les galets, en douceur...
La nature a horreur du vide !

Ben en fait c’est en te poussant, j’ai trébuché sur une pierre et voilà je me suis retrouvée en train de planer...Heureusement que tu étais là pour me rattraper....!!!
Merci Zol Tahar, tomber dans tes bras a été un vrai plaisir et puis tu es un pro de l’atterissage en douceur... ;o)