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Et voilà un sujet qui me touche de près : la nuit blanche.

A chaque âge ses nuits blanches ?? Je ne crois pas. A 20 ans déjà je passais de nuits noires en nuits câlines... depuis rien n’a changé ! Enfin si, une chose... ma capacité à les récupérer... ;o))

Allez, Jacques soyons optimistes !! ;o))

Amitiés.

Bravo !! J’espère que les moments de récupération ne sont pas trop longs
quand même !!!
Le fait de ne pas connaitre de douces
nuits devrait être comptabilisé dans les droits à la retraite !!!
J’envoie un message à Sarko...et Ségo !!
A mettre dans leurs programmes !
Ah !! vous ne saviez pas pour eux !!!
j’ai encore gaffé....

Quand on est comme moi, à ce que j’appelle l’âge charnière, ton poème fout un peu la frousse, le blues même !
Et si les nuits blanches des tempes grisonnantes servaient de respiration à l’âme ? La respiration n’étant pas forcément artificielle et pouvant à tout âge, nous requinquer, non ?
( Décidemment mon optimisme peut être qualifié de légendaire !)
En tous les cas ta poésie est belle même si j’espère que sa chronologie n’est pas linéaire .

Si j’ai bien compris, tu es à l’âge où l’on
joue encore les prolongations, à l’âge
de la maturité, des retours de flamme
impossibles à éteindre...
Faisons durer, et restons optimistes§
De beaux jours et de belles nuits sont
encore à vivre !

Les nuits blanches c’est un peu le lot de chacun pour différentes raisons.

Seulement, on ne les remplit pas de la même façon !! Quoique au risque de se
bruler, et de mettre quelques temps à s’en remettre, il peut arriver de jouer
certaines prolongations...