En réponse à..

J’aime beaucoup beaucoup la rythmique cassée que tu amènes, qui reste ouverte, sur la fin de chaque strophe. Bien sur les mots y disent la souffrance, mais aussi les possibles. Ton poème dans sa forme originale me fait penser à un beau morceau de Debussy , La sérénade interrompue. Bisous à toi, Hada de Thiercelieux !

Tu en as fait une bien jolie lecture Hada de las Tierras Lejanas...en effet un peu de souffrance mais aussi de l’espoir...
Je vais de ce pas écouter cet air de debussy que je ne connais pas...
Bisous...

Ah ! les mots sont souvent pires que les maux, lorsqu’ils ne les accroissent pas encore !!
Joli texte....
Amicalement

Tu as raison Gual, en effet certains mots sont parfois pires que les maux mais d’autres sont comme un pansement que l’on pose sur le cœur...
Amitié.

Delphine, les mots sont des mèmes puissants, c’est à dire des unités d’information transmissibles par la culture, réplicables et soumis à d’éventuelles mutations ou anomalies d’évolution absolument incroyables.
J’adore suivre l’histoire des mots, leur aventure au travers des générations.
Je crois que je vais prendre ton poème dans l’une de mes études parallèles littérature & science...
Je vais analyser les vers 2,3,4 de chaque strophe, avec rigueur...

Mais c’est un bien joli poème sur les mots presque toujours issus des maux et des joies humaines.
Bisous

Je reconnais bien là l’avisé passionné de mémétique... ;o)
J’espère que tu me donneras le résultat de ton analyse rigoureuse (dit-elle d’une voix moins assurée que d’habitude !!!)
Les mots véhiculent notre vie, nos souffrances et nos bonheurs...
Bisous à toi Enchanteur...