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    Nahuma

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> Nahuma 26 juin 2005, Babou* IP:2e9397598209ee76

J’ai revu dans ces mots le regard de cet enfant qui vendait son corps, sur un trottoir de Manille, pour survivre... terrible regard... terribles mots... mais en existe t’il un seul qui puisse mettre un terme enfin à ce terrible fléau ????

> Nahuma 26 juin 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222

Je ne peux m’empêcher de faire un parallèle avec "L’enfant de là-bas" j’y retrouve ton combat pour la protection des enfants... Ici contre la prostitution, là bas contre le travail forcé : tu as raison, il faut arrêter ces bourreaux.
Je n’ose même plus parler de la forme, pourtant bien mise, tant le fond de ton poème est lourd.

> Nahuma 26 juin 2005, Violaine IP:652c5795036fd23f

Je ne sais que dire, le sujet est très touchant, la pauvreté de l’enfant, la détresse et la souffrance des pays plus que pauvres, la construction du texte va vite alors que les mots trainent ... j’aurais vu ça en prose plutôt qu’en vers courts ... mais ça n’enlève rien à la qualité de ce qui est dit

 :) violaine

> Nahuma 26 juin 2005, Louis d’Anthès IP:91f8188920938bd6

Moi aussi, je ne sais que dire. Je crois que vous ne m’avez pas compris. Cela me navre d’autant que mon recueil est édité, lu et relu puisque qu’après 1 semaine mon éditeur remet sous presse...Si un membre de l’enseignement fait, à mon sens (c’est juste mon avis), un tel hors sujet, que vont penser les ignares comme moi, j’entends ceux qui n’ont pas votre culture ?
En fait, je ne souhaitais traiter que de la prostitution enfantine. Si j’avais voulu traiter de la pauvreté, je me serais d’abord attaqué au nord, au sud, mais je serais resté en France et pourquoi pas, j’aurais écrit, en prose, un roman.
Avec mon plus profond respect devant l’excellence.
Louis d’Anthès

> Nahuma 26 juin 2005, Violaine IP:1d1b38ac213e4d1f

Ne prenez pas ombrage de ce que j’ai écrit, j’ai pour habitude de dire ce que je ressens, je ne vous ai pas jugé, je l’ai ressenti ainsi, quant à ma culture elle est bien loin sûrement de valoir la vôtre je crois n’avoir que mon certificat d’étude primaire ! c’est vous dire !

Si ce texte fait partie d’un recueil édité, qu’il plaît c’est tout à votre honneur, mais peut-on demander à tous d’aimer la même chose ?
je suis désolée si je vous ai blessé, je le sens dans votre réponse légèrement ironique, je m’abstiendrai à l’avenir de tout commentaire à votre égard puisque la sincérité ne semble pas être de bon goût.

Cordialement - Violaine

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