En réponse à..

Bon exercice de conjugaison, j’en reste béate d’admiration .

Mélange de souvenirs où les verbes se déclinaient à l’infini (aujourd’hui c’est seulement à l’infinitif). Ce qui me ravit le plus, reste de passer le correcteur orthographique qui me répond de conserver ces temps (pourris ?) pour les textes littéraires. Sûr que l’ordinateur ne sert qu’à faire des bulles

Merci de votre visite.

Je ne te connais pas par la taille mais tu es sans aucun doute un grand bonhomme !
Bien sûr qu’il faut reprendre et élaborer ensemble l’écriture pour que celle d’hier ne devienne pas que mémoire et qu’elle ne soit suplantée par celle de demain.
Ô combien il est important de lire :
Comme je descendais des fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs....

plutôt que :
Kom je dessendè dé fleuves 1 pas cible...

Tu es un mousquetaire du verbiage !

Oui je suis grand cœur... ce qui ne m’empêche pas de me lâcher et de tomber dans quelques pièges orthographiques qu’une main leste s’empresse de corriger (merci

Je crois qu’il doit toujours y avoir une place pour non des reliques (comme si le français était vieux au sens sénile) mais forme d’expression plus galante ou l’aspect suranné devient élément d’architecture littéraire (faudrait que je m’enregistre !)

Merci encore de ta venue enthousiasmante.

Oh oui, il faudrait un lieu où garder comme des trésors cette langue française que vous savez si bien caresser...

Texte d’un limpidité qui m’a plue. Ah ! Si tout le monde pouvait écrire aussi simplement ! Bravo. A+B

Commentaire respirant la gentillesse et dont je vous remercie. Je confesse abuser de la lecture d’un ouvrage étonnant : "Analyse grammaticale et logique", classique Hachette de 1951 (là c’était juste pour faire mon intéressant

Fais beau chez vous ?