En réponse à..

Je crois qu’il ne serait pas possible de parler de la maladie et de la fin en termes plus durs. Mais la vie peut-être parfois cruelle, et si l’insensibilité humaine en rajoute encore un peu, ça devient....(pas de mot).
Ton récit me rappelle une situation que j’ai vécue autour d’une personne que tout le monde croyait dans un coma profond, et pourtant il y a eu une réaction à une parole malheureuse....
Tu as bien fait d’écrire celà, pour nous remuer dans notre indifférencequi s’installe de plus en plus dans notre société, et aussi pour permettre à l’accompagnatrice USP (et aux autres aussi) d’évacuerla fatigue nerveuse, la souffrance, bref tout.
Bisous.

Je ne sais si j’ai bien fait mais en d’autres lieux cela a fait débat...
Oui, il ne faut pas laisser s’installer l’indifférence, et surtout que le dialogue reste vivant entre les malades, les médecins les familles. C’est aussi notre tache d’accompagnant d’y veiller. Parfois, on est un peu.. dépssée. merci Domi de ta lecture empathique.