En réponse à..

"Je résiste vaille que vaille, mais ton prénom est un tatouage sur mon cœur. A chacun de tes mots, il réveille en moi la tendresse, déchaîne mes sens"
J’ai osé .............
merci pour ce texte

"J’ai osé"... et vous avez bien fait, elle doit être heureuse de votre décision.

Amicalement
Freya

[J’espère que celui à qui c’est destiné lira et comprendra.]
 

Au delà des idées parfaitement exprimées, des sentiments justes et décortiqués au scalpel, je suis moins heureux de la généralisation faite dans le titre et dans le sous-titre.
Car vois-tu, Freya, je souffre de ces mêmes attitudes avec des femmes qui ont bien du mal à admettre qu’un feu de paille puisse se transformer en amitié profonde et durable ou qu’il y ait refus de "consommation" pour ne pas risquer de perdre le principal, le fondamental : ce qui réunit, à un moment donné, un homme et une femme, ce qui crée une complicité immédiate, la connivence, le partage sans réserve d’une immense tendresse sans qu’il n’y ait d’équivoque possible..!

Et cela, Freya, je l’ai souvent expérimenté (et exprimé dans certains textes). Des funambules sur un fil fragile et précieux... la recherche d’un équilibre sublime entre amour et amitié...

Une quête, c’est cela, une quête, au sens antique du mot...

le résumé de ma vie ou plus précisément des relations que j’entretiens avec les femmes de ma vie...

Bien amicalement,
papabul

Ce texte n’est destiné à personne en particulier. C’est, je dirais, une compilation de différentes observations et de discussions que j’ai eu récemment avec des amies, qui m’a donné cette idée de fiction.
J’ai écrit "sur un comportement masculin", pour justement éviter la généralisation, apparemment ce n’est pas assez explicite, excuse moi, Frédéric.

Merci de ton commentaire
Amicalement
Freya