En réponse à..

Mais comment peut-on écrire si divinement ? Je crois entendre encore le dernier contre Ut

Heureuse si les mots portent la musique jusqu’à toài. Pour ce qui est d’écrire divinement, j’en connais un autre.. Amicalement à toi, qui me transportes à chaque fois dans des mondes troublants.

Je n’avais jamais songé au sort des notes, mais je sais qu’à la fin d’un concert, je ressens toujours de la nostalgie. C’est la fin d’un moment unique d’émotion qui ne reviendra pas. Comme chaque seconde de vie. Bisous.

C’est une émotion que je ressens aussi avec beaucoup d’intensité. L’irréversible et la nostalgie du son enfui qui ne reviendra pas. C’est en cela que le chant est acte gratuit par excellence.

Bisous Domi.

Avoir été et n’être plus qu’un souvenir, qu’un écho oublié. Ce poème m’a donné des frissons, cette mort annoncée et inéluctable qui se profile après tant de grandeur...
Triste, triste...
Bises.

Oh que oui, triste le sort d’une note... Heureusement qu’il suffit de respirer un grand coup et ouvrir la bouche pour en faire venir d’autres au monde ;o)

Je te fais de gros bisous (ceci dit c’est vrai que je me demande à chaque fois que j’entends ou fais de la musique ce que ressentent les sons une fois lachés dans le décor...)