En réponse à..

J’ai horreur des quais de gare, sauf peut-être quand j’y suis en partence pour aller visiter des amis......
J’aime beaucoup l’atmosphère qui se dégage de ton poème, comme une espèce de lourdeur...

A mon avis celui que tu prendras d’ici quelques temps ira un peu plus vite que ces vieilles locos ;o)
Je reste fasciné par ces machines qui soufflent, crachent, suent et souffrent.
C’est une symbolique que j’adore car effectivement, il y a de la lourdeur, de la tristesse dans le cri d’une loco à vapeur, voir de l’inertie de départ et des regrets..
Merci Maîstre Roland ;o)