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Les oiseaux blancs
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Les oiseaux blancs 15 mars 2007, Patrick G. Delay IP:3fd2ed547e56ffca
C’est un très beau poème, la musique ne ment pas. Une question, pourquoi ne pas l’avoir écrit en vers, voire vers libres.
Bon ce n’est qu’un détail. Poème donc, très profond, assez désespéré, mais très beau.
Et le Phénix dans tout cela, ne peut-il renaître de ces cendres que tu vois par le vent dispersées ?
Merci pour cet agréable instant de lecture.
Les oiseaux blancs 17 mars 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Pourquoi ne pas l’avoir écrit en vers ? Tout simplement parce que je suis une inconditionnelle de la prose... )
Le Phénix est un animal fabuleux, ce qui n’est pas mon cas, je ne renaîtrai donc pas de mes cendres... et c’est très bien ainsi !
Merci pour ton commentaire Patrick, et bonne fête !
Les oiseaux blancs 15 mars 2007, Marie L.T IP:dd597b4bd1706f41
Dans tes incertitudes, Delphine, au dessus du ciel des silences, il y a ce grand espace du ciel de tes désirs : il me paraît encore suffisamment vaste pour y voir reblanchir des ailes, même fragiles, mais non brisées.
Toute mon Amitié.
Marie.
Les oiseaux blancs 17 mars 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Pour revoir blanchir des ailes, il me faudrait encore avoir l’envie de les rechercher, c’est cette envie qui aujourd’hui me fait défaut... demain peut-être !
Merci Marie pour ce si gentil commentaire.
Amitiés.
Les oiseaux blancs 14 mars 2007, papabul IP:7a51aeefb936df89
Que de désespérance dans vos mots... on n’est jamais tout à fait maître de son destin dès lors que des briseurs de rêves s’en viennent jouer avec nos sentiments ou nous empêchent de tourner la page... machiavéliques et pervers !
Que dire qui ne serait du domaine du cliché ?
Je vais y réfléchir... y revenir peut-être si je trouve une piste de réaction un tant soit peu « éclairée »... d’autant que cet état d’abandon a tant d’origines possibles.. « la vie », « les autres », « l’autre »... N’y a-t-il pas lieu de s’accrocher à l’énergie de la passion (qui est ici bien présente malgré tout) et transformer le désespoir en révolte ? Oui, je sais, je ne suis pas plus avancé, puisqu’incapable maintenant d’exprimer la manière d’y arriver...
votre lecteur muet...
frédéric
Les oiseaux blancs 17 mars 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Cher Lecteur muet,
C’est exact, le destin n’en fait qu’à sa guise et nous ne sommes entre ses mains que des pantins cassés qui essayons de tracer notre route envers et contre tout... peut-être devrais-je dire contre tous.
L’énergie, la passion, la révolte sont là, latentes... manque seulement l’envie de leur redonner vie ou tout simplement de les laisser s’exprimer ! Elles reviendront demain peut-être...
Merci Frédéric de votre lecture toujours si attentive.
Amitiés.