En réponse à..

La suite est dans le sens de cette souffrance d’être, posée en marge, forcée par l’une, la vie exulte malgré tout, Viviane, le fossilenfant grimace au miroir de l’amer et l’être au fond de soi respire amplement : vivants sommes-nous, graine jetée là, poussée par je ne sais quoi mais qui existe au delà de toutes les mers, fussent-elles tourmentes, absences, remous et déferlantes...

Un texte puissant, où la passion emerge, braises rougeoyantes au sein d’un feu que nul ne peut éteindre...
Ainsi sois-tu.
Merci pour ces mots Viviane, qu’ils continuent leur route de non silence !

Cléo insatiable qui attend une autre suite...

La suite arrive, Cléo, avec laquelle la distance s’est prise manifestement, puisque je peux aujourd’hui sans souffrance (et même avec le sourire en repensant à ces échanges parfois ... houleux avec ce médecin qui fut à la fois mon médecin interniste et mon psy - triple formation que celle de cet homme là : médecine interne, psychosomatique dont il est l’un des pères fondateurs en France, philosophie ) en poser quelques extraits sur ce site.
Oui, la Vie est là, passionnément aimée, pour les couleurs, les parfums, les rencontres qui furent toutes exceptionnelles, et les chemins qui restent ouverts. Merci de ton amitié.

Le poème est un régal à déguster lentement pour en extraire tout le parfum. J’aime le ton employé ici, ce côté conversation spontanée, cette confession et surtout l’humour parfois si présent.
Pourtant on ressent de l’authenticité, comme si... mais je ne veux rien savoir d’autre que ce simple bonheur de lire quelque chose de carrément bien. Est-ce vrai ? Est-ce fiction ? Qu’importe après tout. Laissons le "fossilenfant" à notre propre imagination.

Merci Patrick de cette présence si vivante dans vos mots à la fossilenfant qui se dépouille. Est-ce vrai, est-ce faux ?
Pulpe fiction, pure réalité, mélange des deux... L’important est d’aller au bout du bout de la plume et de l’histoire. Je sais que vous m’y aiderez.

Que de souffrances derrière ces mots. elles sortent. Enfin je l’espère.

Amitiés

Aimelasorc

Oui, Aimela, elles sortent, ces paroles enfouies . Elles sortent. Il m’est difficile d’offrir cela au regard, donc j’édulcore.. Mais on peut aussi le lire comme une fiction, d’ailleurs, cela m’aiderait si on le pensait pure fiction (sourire) Amicalement à toi..