En réponse à..

Superbe comme toujours Viviane...
L’homme est un intrus dans cette merveille de verdure...
Bisous Hada de la selva...

Merci Delphine, je repensais à ce poème écrit aux tous débuts de mon arrivée.. là bas, en regardant la photo de mon petit éléphant. Le vert de la photo trancrit très fidèlement l’intensité de cette teinte en Afrique. L’homme y est hélas, encore aujourd’hui, le pire prédateur, espèces florales et animales en dangers constants de disparition.

Superbe texte, Viviane...
Quoiqu’on fasse, la nature aura toujours le dessus sur l’homme...
Sourire

Adorable commentaire, Vanina, la forêt et la nature sauront faire revenir lle bon sens sur cette Terre, un jour ou l’autre. Nous n’en avons plus conscience, et c’est dommage.. Amitiés à toi et merci de ta lecture.

Forêt d’émeraude, frondaisons cannibales, rain forest, tu la peins merveilleusement bien et j’en entends les cris qui rebondissement d’une clairière à l’autre entrecoupés d’un silence pesant, prélude à un nouveau crime, celui du struggle for life.

La forêt première est puissance et magie. Elle est source de vie.
Au secours ! Des lianes m’enserrent. C’est la fée Sylvesta qui vient encore de me capturer comme elle le faisait en forêt de Brocéliande...
La vie est un éternel recommencement !

Tu as raison , Prince des dunes, le plus étonnant dans cette forêt, c’est son silence qui se lève comme un drap lorsque la bête humaine passe. Silence qui est, si j’ose dire, parallèlle à la verticale des arbres aux frondaisons recouvertes d’oiseaux ; il y a des colobris de toute beauté là-bas, à peine plus gros qu’un bourdon. Et souvent, on n’entend plus comme bruit que le zzzzzzzzzzzz de leurs ailes.. Le contraste entre le vert émeraude profond de la forêt, le rouge de la terre ( latérite) et les couleurs de la faune est saisissant.

Bisous à Toi.