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Un enfant.
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> Un enfant. 7 avril 2005, genou IP:c1c89a257ae58d7a
Une réalité de la vie,
que tu contes et que tu cries.
Que l’homme n’a pas compris
(l’homme est d’un naturel méchant)
En lisant ton texte, les paroles de certaines chansons sont revenues dans ma mémoire. Les enfants du Liban de G. Chelon, Les enfants de la guerre de Ch. Aznavour.
très beau
> Un enfant. 8 avril 2005, Delphine Lemaire IP:2ffb8ff268fa3bf8
Je suis d’accord avec toi, l’homme est d’un naturel méchant et j’ajouterais même fourbe et hypocrite....Quelles optimistes nous faisons toutes les deux...!!!!
J’ai mal pour toutes ces petites vies que l’on fauche sans raison ici ou ailleurs. Barbara disait : "car un enfant qui pleure, qu’il soit de n’importe où est un enfant qui pleure, car un enfant qui meurt au bout de vos fusils est un enfant qui meurt, que c’est abominable d’avoir à choisir entre deux innocences, que c’est abominable d’avoir pour ennemi les rires de l’enfance..."
Merci Genou...
> Un enfant. 6 avril 2005, roland IP:7e9391cb14d96ce0
Un monde qui maltraite ses enfants est un monde sans avenir,
Très bel écrit Delphine, domage, trop peu commenté.
Amitiés Roland
> Un enfant. 6 avril 2005, Delphine IP:28e1ad1765bc5302
Je suis d’accord avec toi Roland, nous vivons dans un monde sans avenir....Parfois, lorsque je regarde le JT, je me demande jusqu’où l’homme ira...je pense que notre civilisation a eu son heure de gloire et que nous sommes en pleine décadence...Pas très optimiste cette perspective...à l’image de notre époque...
Merci de ta lecture et de ton commentaire.... ;o)
> Un enfant. 5 avril 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Dans le silence de la Plume et l’Encrier on entend bien ton cri... Joliment repris par BB sur la radio du plumier...
Très touchant tes mots Delphine, comme chaque fois que tu évoques notre monde "guerrier" dans lequel meurt des enfants...
> Un enfant. 6 avril 2005, Delphine IP:28e1ad1765bc5302
Je pense que rien n’est plus terrible que cette douleur de l’enfance...dans certains pays, rien ne leur est épargné...
Parfois je pense à mon enfance protégée...et je me demande ce que nous nous laissons à nos enfants comme part d’innocence et de désinvolture...
Bernard ne m’avait rien dit pour le poème...ça m’a fait tout bizarre d’entendre mes vers à la radio....)