En réponse à..

Oh mais je suis bien certaine que tu sais encore rire, même si parfois l’évocation d’un souvenir douloureux nous fait replonger dans la souffrance.

Les rires sont à double tranchant. Entre le rire franc et sincère et le rire moqueur, méchant, fielleux, il n’y a qu’un cœur qui fait la différence.

Merci Jacques.

Je suis en congés actuellement, et reprends des textes que j’ai en réserve depuis quelques temps déjà. Le fait de les
finaliser est comme une libération. Ils sont sortis de mes cahiers... D’ailleurs,
à présent, je déchire les brouillons, pour éviter de revenir dessus !!
Tant pis pour la postérité(je m’exclaffe !!!)
Apprendre à lire les rires... Voilà une autre idée de texte...
Amitiés optimistes !!!

Il y a des rires qui font très mal.J’ai été longtemps à ne plus savoir rire mais des vrais amis m’on redonnéle goût et le plaisir de le faire. Crois moi que je ne me prive plus mais pas au détiment d’autres personnes.

Tu as raison, Aimela, et garde ces amis
précieusement !

L’arrogance du rire ( du rire ou du ricanement ? ) d’autrui est parfois autant douloureuse que la perte dans les souvenirs . C’est triste .
( je ne comprends pas " plus de pension ", mais ce n’est pas grave, je crois, de ne pas tout comprendre d’un poème .)

"plus de pension", lire plus de contribution aux charges du mariage...
(trop long), s’éteind au décès du conjoint
séparé...
Les rires sont dus à la méconnaissance de
la douleur. Ce n’est pas parce que l’on est séparé, que tout est fini... par contre
la mort est un point de non-retour.