En réponse à..

Tant que quelqu’un lira tes mots, tes lettres ne resteront pas mortes.

Un ton très grave pour ce court poème.

Merci Jacques.

Le ton est celui de quelqu’un qui a peur
de l’année qui s’annonce... La peur du désintérêt de la chose politique, d’autant que les évènements actuels risquent encore d’ajouter au dégoût de certains !
Il faut se battre pour que la majorité silencieuse s’exprime, pour éviter que les mauvaises idées, les pires passent...
Amitiés

Très joli ce petit texte, on a tous un moment à un autre la peur de ne pas être compris et les idées noires reviennent . En ce qui me concerne, ce texte est bien compris

A chacun sa lecture... j’avais pensé à la
"majorité silencieuse"... qui laisse se développer des idées qu"elle réprouve !
Mais, c’est vrai aussi que l’on est souvent
"incompris" ou mal compris, mais sans doute ne suis je pas assez clair dans ce que j’écris.