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Le clochard
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> Le clochard 31 janvier 2005, Clo IP:f002f5233e3e98fb
C’est un texte superbe, plein d’émotion.
(Ahhh ! Il est où encore mon paquet de Kleenex !)
C’est toujours un plaisir de te lire Delphine !
> Le clochard 31 janvier 2005, Delphine Lemaire IP:4ff7bb8d88ce78bf
Tiens Clo j’en ai toujours un d’avance pour toi....Je suis heureuse de te voir ici et espère pouvoir à mon tour te lire bientôt....
Amitié....
> Le clochard 29 janvier 2005, François IP:53715d8235175145
C’est une question de mots, mais d’après eux – les clochards – il y en a de moins en moins. Il y a beaucoup de SDF. Je crois que c’est une question de choix, certains clochards auraient choisi plus ou moins de l’être.
Un beau texte toujours d’actualite.
> Le clochard 31 janvier 2005, Delphine Lemaire IP:4ff7bb8d88ce78bf
C’est vrai que la différence existe, une question de choix de vie....mais je suis certaine qu’eux aussi ont parfois besoin de se sentir exister, être et croiser un regard qui leur montre qu’ils sont encore vivants...
Merci Franz...
> Le clochard 28 janvier 2005, patrcik IP:49bf5325c3bd5a6f
L’espace qui nous sépare du trottoir est bien plus fin que nous ne le pensons et il faudrait à beaucoup bien peu de choses pour que leurs certitudes, leur confort tant matériel que moral s’effondrent et les emportent au ban de la société.
Ce texte est fort bien écrit et tout en dépeignant une situation grave réussit à apporter une délicate touche d’espoir. Au-delà de l’apparence, se cachent des êtres dont on ne peut nier l’âme.
On remarquera une pitrerie du vocabulaire associant dans un tragique destin le fait d’être au "ban" et de se retrouver justement sur un "banc". Les mots ont parfois bien plus de sens que nous.
> Le clochard 28 janvier 2005, Delphine Lemaire IP:189a4c06e113ba30
En effet, il suffit parfois de bien peu pour se retrouver à dormir sur un banc et mis au ban de la société.
J’avais vu un jour un film qui parlait de ce sujet, un homme qui apparemment avait tout, superbe voiture, maison luxueuse, famille très à l’aise, profession plus que rentable. Suite à une dispute avec son patron, il décide de tout laisser tomber et de chercher une autre société....mais pas de chance, les amis des beaux jours sur lesquels il compte le laissent choir, et il se retrouve sans argent et là la grande spirale de la déchéance commence, divorce, saisie, expulsion....et pour finir, il rejoint la grande famille des SDF .
L’âme d’un être est la chose la plus importante, bien au-delà des apparences....
Merci Patrick pour ta lecture toujours aussi attentive....