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    Au temps des lupanars

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Au temps des lupanars 6 janvier 2006, patrcik IP:74ea610bcc09e455

""Viens donc y toucher si tu l’ose"" et ainsi je ferai pour d’un S vous exhorter à refermer votre strophe où un téton singulier me titille mais en même temps me projette belle image.

Vous privilégiez l’élu municipal à celui de Dieu et d’une majusucle le cambrez, façon de l’imposer peut-être mais une fois nu ... qu’est-il d’autre qu’un homme ? Puis à eux tous, ne leur faites rouler les R et simplement COURAIENT irait (même au bordel).

Enfin, vous dites "arpentaient" alors qu’un présent eût prolongé le tableau jusqu’à nos rues et montré la dureté (par sa longueur ou éternité) de la pénitence.

Souffrez aussi que de la ponctuation je fasse remarque, souvent cruellement absente mais je vous laisse aller à votre guise.

Au temps des lupanars, au temps suspendez-vous à ce commentaire mais par pitié n’en faites pas un plat : il n’est que téton.

Au temps des lupanars 6 janvier 2006, roland IP:3dafa96226196d5e

Et bien cher Patrick, promis je n’en ferait pas un plat, d’autant plus que je n’avait pas remarqué ce "R" qui s’est glissé en trop au beau milieu de la course ainsi que cette majuscule bizzare dont j’ai affublé l’élu municipel.

Pour le reste le "s" à téton, le passé à arpentaient ou la ponctuation, ce n’est qu’affaire d’appréciation personnelle.

Merci pour cette lecture

Au temps des lupanars 5 janvier 2006, Eric Bourdon IP:1155454f875da6fb

il en existe toujours de par le monde, mais que se soit en Allemagne, en Thaïlande, en Afrique ou n’import’où ailleurs je n’ai jamais vu que tristesse dans le regard des filles. Alors est on bien certain que celles d’autrefois étaient plus heureuses (moins malheureuses) que celles qui arpentent les rues près des gares.
Amitiés Eric

Au temps des lupanars 6 janvier 2006, roland IP:3dafa96226196d5e

En fait il est difficile de parler pour elles, c’est juste que je pense qu’il y a des dégrés dans le malheur, tant qu’à faire autant qu’elles soient malheureuses à l’abri que dehors.

Mais après tout je n’en sais rien, le débat n’est pas nouveau et certains diront peut-être qu’il n’a pas lieu d’être.

Merci pour ton passage.

Au temps des lupanars 4 janvier 2006, Aimelasorc IP:c077a181f9d46829

J’ai énormément de respect vis à vis de ces femmes et tu raison de poser cette question des maisons closes. Elles y reraientt plus protégées que dans la rue où on les met et maintenant, elles doivent se retrouver dans des endroits encore plus coupe-gorge malheureusement

Au temps des lupanars 4 janvier 2006, Roland IP:398478fcbfb7565b

En tout cas une chose n’est pas contestable, c’est le suivi médical dont elles faisaient l’objet... au fait, ce serait peut-être un moyen de mieux contrôler la prolifération du sida chez les prostituées ????

Merci pour ton passage Aime

Roland
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