En réponse à..

Et si je te disais tous les mots du silence
Les rêves bientôt réalisés, cette sourde puissance
Et ma voix qui résonne comme un navire attendu
Aux rochers de tes yeux, aux espoirs aperçus.

Et si je te disais les lumières enchantées
Qui habitent mes nuits aux songes émerveillés
Et mes mains qui se nourrissent d’effleurer le silence
En un bonheur complice au cœur de ta présence.

Et si je te disais cet espoir fidèle
Essence de mon âme indomptée et rebelle
Et mes lèvres entrouvertes d’où s’échappent mes rêves
Quand se lève le vent qui mène à la grève.

Et si je te disais...
Que l’on construit son présent sur les ailes du passé...

Tout ça tu le sais déjà...
Ton texte était si beau, je n’ai pu résister : Ô plagiat !
Sourire

Et mes droits d’auteur vilaine fille...!!!

Pas la peine d’insister, tu sais bien que je n’écris à peu près bien que les poèmes tristes....Ceci dit tu as raison, "on construit son présent sur les ailes du passé"...j’aurais simplement ajouté : "avec plus ou moins de bonheur"... ;o))) Moi incorrigible ? Sans aucun doute...!!!
Merci Vani de ta réécriture positive....
Sourire....

Et si je te disais, que tu n’es pas seule avec ce désespoir fidèle qui revient régulièrement nous gâcher le présent ?
Tu as raison Delphine, à quoi bon parler du passé !

Je te dirai que je te crois Clo....Je ne sais pas si c’est une question d’âge mais nous sommes une génération de désespérés...trop vieux pour garder cette part d’insouciance qui fait barrière à la tristesse, trop jeunes pour avoir cette sagesse qui permet de mieux vivre la vie....ou alors....
Ne parlons plus du passé...il revient suffisamment à la charge comme ça.....
Merci de ta lecture...

Oui, à quoi bon parler des écueils du passé. Le passé , oublions le, si on y arrive bien sûr

Alors là Aimela si tu connais une recette d’oubli...fais moi signe....On a beau ne pas en parler, ils sont toujours là présents, bien présents....
Merci Aimela de ta fidélité....