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Bonjour,
Beaucoup, beaucoup trop de fautes de frappe ou d’orthographe pour pouvoir lire ce texte sereinement. Merci de corriger, pour toi comme pour nous.Par exemple : "C’est Martin qui recherche son fugueux de chien qui s’appelle Milou dans cette histoire qu’il aimerait bien faire dessiner."
Et hop ! 3 de moins, 3 !!!
Amicalement - Claude
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bonjour Guido
Tout d’abord je tiens à te remercier pour ton commentaire sur mes "accidentés de l’amour".
Ta façon de faire "retourner" dans sa tombe cet honorable philosophe est tout à fait croustillante.Crois-tu qu’il aurait tenu ces propos avec sa "daronne" ? lui ?
Je cours vite survoler tes autres estocades epistolaires.-
j’aime bien de temps-en-temps faire de la provoc et, en l’occurrence, c’est une façon comme une autre de régler son œdipe !
Quoique on peut se demander si Emmanuel ne l’a pas raté car c’est un maniaque de la "propreté" philosophique, qui plus est très hermétique.
Je ne l’aime pas trop. Comment ça en s’en doutait ! Rire !Merci à toi d’avoir lu et commenté ce gag.
PS : " C’est bien" est tout à fait une citation de Kant. Dans les milliers de pages qu’il a commis il l’a forcément écrit à un moment ou à un autre !
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Bonjour .... euh .... Kali c’est çà ?....
La deuxième lecture qui est peut-être la première après tout (rire !) une jeune fille qui connait La Révélation, la Grâce, le papy étant DIeu dont elle résiste à l’appel.
Oui je sais j’ai trop d’imagination et en plus je vais te faire une confidence : suis athée ... nul n’est parfait. mdrrrrrGuy
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1. Ces Portes qui nous mènent, 3 juillet 2011, 00:11, par francois.creteau
Inconscient ô monde perdu
Je retrouve mon chemin
Dans les allées de celle au matin
Dont le conscient me tend la main
J’ai peur d’y retrouver l’inhumain
Alors je me prélasse dans l’arcade de ton paradis
Amitié poétique
François Creteau
2. Ces Portes qui nous mènent, 15 juillet 2011, 17:38, par Freya
La paix. Quelle merveilleuse sensation après avoir affronter les tourments de la vie, ses joies aussi. J’aime bien cette image des portes et ce long couloir, même si cela sent le piège (sourire).
Amicalement