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Sourire...
C’est bien curieux comme certaines écritures changent... Le ton, le style, les apparences...Bon week-end, ami Jean-Claude.
Maya
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Bonsoir très chère Maya ! Mon écriture changerait elle à ce point... sans que je ne m’en aperçoive ?
Pour la forme, et c’est vrai depuis des années, j’utilise le "carcan" du sonnet classique autant que faire se peut, voire néo-classique dans certains cas...
Quant au thèmes, ils varient selon mon humeur tout en gardant en tête le respect du lecteur...
Ici, il n’est question que d’une donzelle de la Cour qui ne sait pas très bien ce qu’est un maître queux, un mot un peu passé pour désigner un cuisinier. Don Juan, tout le monde connaît et Vatel fut ce cuisinier-intendant de Louis XIV qui se suicida suite à un arrivage de fruits de mer quelque peu retardé. Il va sans dire qu’il faut situer ce poème aux siècles passés quand il y avait encore une Cour déclarée autour de notre bon roi et que les femmes d’alors avaient quelques lacunes en ce qui concernait la maîtrise de la langue, ce qui, bien entendu, n’est plus le cas aujourd’hui... en tout cas je l’espère !
Bonne soirée petite Maya et merci pour ton intervention...
JC, le "Mutant" !
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Heureux de te retrouver !!
Et ton style est toujours aussi parfait..
Petite fable amusante , j’ai failli faire des jeux de mots douteux avec Vatel et la marée, mais dans le contexte cela ne s’y prêtait pas !!Je pense que le thème du mois ’historique’ devrait t’inspirer également..
C’est toujours un grand plaisir de te lire.
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La "mutation"...
Vive la paix.
Le jour s’y prête, comme tous les jours en vérité.
Bon dimanche, cher ami.
Maya
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Juste un petit rappel historique en ce qui concerne notre cuisinier vatel.. Celui ci n’était pas le grand chef du bon roi soleil, mais du grand condé Louis de Bourbon, Duc de montmorency.. Mais ce n’est qu’une petite parenthèse qui ne change rien à la qualité du texte (poétique et libertine, oui, un peu non
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Très juste Bernard ! Il était intendant du Grand Condé et c’est à la suite d’une réception que celui-ci donnait en l’honneur de Loulou le Quatorzième que ce pauvre Vatel s’est fait hara-kiri à l’âge de 40 ans pour une histoire de moules en retard ! Paix à son âme et merci à toi pour cette précision... qui ne change rien à mon coquin de sonnet, mon maître queux n’étant point Vatel mais l’un de ses confrères... Amen !
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1. Le mot remarquable de ses temps, 24 novembre 2011, 08:03, par Annie
Bonjour Maya ! A travers tes récents écrits sur la Plume il me semble que tu éprouves de la lassitude vis à vis de beaucoup de choses. Cela se produit parfois pour chacun de nous. Vois-tu, j’ai trouvé récemment dans un livre un propos concernant "le temps" et je l’ai notée car ça m’a plu.
"A ’époque, le temps n’était pas un champ à mesurer en enjambées ou avec des lianes. Le temps, c’était le battement d’un cœur, l’espace d’un cillement." Calixte Beyala dans son roman "Les arbres en parlent encore" un récit empli d’humour qui nous fait percevoir la présence des Allemands puis des Français au Cameroun du point de vue des autochtones.
Cela dit, j’aime et je privilégie les battements de cœur et les cillements, car je pense aussi que le temps n’est pas autre chose. Très bonne semaine à toi. Amitiés. Annie
1. Le mot remarquable de ses temps, 24 novembre 2011, 08:51, par Maya
C’est malheureusement parfois autre chose, mais il faut savoir contourner... ni plus, ni moins. Cela dit, oui, sans les battements de cœur, il n’y a rien ; ce n’est qu’une course folle vers le vide devant soi. Ce matin, j’en ris. Autant prendre les choses du bon côté.
Il arrive qu’effectivement on trouve son petit lot de consolation dans une simple lecture ; une consolation ou une petite énergie qui permette de se relever, de se rappeler qu’effectivement la mocheté n’est que poussière...
Merci de tes mots.