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Bonsoir Muriel ! J’ai été interpellé par ce texte, ô combien d’actualité. Interpellé par la force qui s’en dégage, par ce véritable cri du cœur mais aussi par l’écriture et la forme en sonnet...
Ce n’est jamais facile de délivrer un message en si peu de vers et pourtant ici tout y est...
Ce poème, de forme sonnet irrégulier, est excellent.
Les alexandrins sont de qualité à l’exception du vers 11 qui comporte 13 syllabes et de ce fait casse un peu le rythme. Ce vers est facilement corrigible sans modifier le sens et je me permets de vous suggérer, soit :comme le poids qui freine... ou
comme un poids qui nous freine...
Simple proposition, bien entendu !
Voilà ce que je voulais vous dire en vous félicitant pour ce poème qui fait chaud au cœur ! Merci pour cette très agréable lecture vespérale... Amicalement, JC
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Bonjour Jean-Claude ! Je découvre à l’instant cette version (via FB)et elle me plaît vraiment bien. Les détails qui me gênaient ne me gênent plus ici ... je ne sais pas pourquoi ??? Question de perception de l’ensemble peut-être et aussi des explications données en introduction. Une réalité historique, sortie des brumes où, sans nul doute, on aimerait bien l’enfermer. Merci à toi !
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Merci Annie ! Malheureusement, si ces tristes négriers n’existent plus sous cette forme, il y a par le monde des millions de pauvres gens, souvent des gosses, dont les statuts ne valent pas beaucoup mieux que ceux décrits dans ce texte. On en trouve même en France, employés dans des "familles bien sous tous rapports" et ce, quelque soit l’origine de ces dernières... J’en ai moi-même croisé quelques uns de ces esclaves modernes qui ne portaient bien entendu pas ce nom... Que faire quand ce système est admis dans certaines traditions ? Je crains que la fin de l’esclavage ne soit pas pour demain...
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Je trouve cette version parfaite Jean-Claude ! Merci pour cette page d’histoire que l’on préfère oublier ou minimiser. Il est vrai que l’esclavage n’a pas disparu de la surface de la terre, même dans les pays dits "civilisés" il existe de nos jours, habilement fardé, difficile à saisir, parfois même sous forme individuelle. Très bonne journée à toi. Annie
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Bonjour Annie ! Tu sais que La plume, grâce à sa souplesse d’emploi (Merci Bernard !), est pour moi un genre de banc d’essai sur lequel je modifie souvent un texte... Je m’en excuse auprès des lecteurs mai il n’y a qu’ici que je m’aperçois véritablement de mes erreurs et lourdeurs ! Je pense que Marchés Noirs est cette fois finalisé, peut-être à l’exception du titre. Merci pour ton com. et bon dimanche. JC
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Si cet esclavage que tu décris a disparu, il y en a un autre bien plus caché dans notre monde individualiste. Rien ne change dans ce bas monde
Il faut comme toi, le dénoncer en public. Merci pour cette petite page d’histoire si bien écrite
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Bonjour Aimela ! Comment va ma sorcière bien aimée ?
Je sais que l’esclavage existe toujours quand bien même il ne dit pas nom... Comme tu l’as compris, ici il ne s’agit que de cette période qui, pour nous Français, a officiellement duré de Colbert à Schoelcher. La révolution avait, au nom des Droits de l’Homme, aboli la traite que Napoléon s’est empressé de rétablir en 1802 avant que Victor Schoelcher n’obtienne (enfin) vers 1847 l’arrêt définitif de cet odieux commerce... et comme tu peux l’imaginer, ça ne s’est pas terminé du jour au lendemain...
Merci pour ton passage et bon dimanche Martine !
Amicalement, JC
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1. Ode grepolienne, 2 février 2012, 19:51, par JCJugan
Bonsoir tierratana ! Je vous prie d’excuser mon manque de culture mais pourriez-vous me renseigner quant au sens de grepolienne et de HACHAC, deux termes qui n’appartiennent pas à mon vocabulaire et sont pourtant indispensables à la compréhension de votre texte.
Dans l’attente d’un éclaircissement de votre part, je vous souhaite une très bonne soirée ! Cordialement, JCJ
1. Ode grepolienne, 10 février 2012, 10:59, par tierratana
petite entorse au langage car il s’agit d’un hommage à un jeu en ligne de conquête