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Hello Annie, how are you ? Je continue en français bien que te sachant londonienne pour quelque temps...
J’ai bien aimé ce poème et plus particulièrement le premier quatrain :
J’aimerais m’en aller un jour de grand soleil,
Ou pourquoi pas, mon dieu, sur un rayon de lune,
Lorsque les korrigans danseront sur la dune,
Me reposer enfin dans un dernier sommeil...
Quatre très beaux alexandrins même si la suite n’est pas mal non plus...
Je regrette et je ne comprends pas que ce genre de poésie ne trouve pas plus d’écho sur La Plume. C’est vraiment décourageant pour les quelques auteurs qui s’y accrochent encore et présentent régulièrement leurs textes. Passons !
Ça n’enlève rien à la qualité de ce sonnet parfaitement classique pour la forme, à l’exception d’un hiatus à l’avant-dernier vers (eau oubliant) +des rimes différentes dans las quatrains, une et ume, et profondément mystique... et poétique par ce qu’il apporte.
Merci Annie et bonne continuation... Bye ! JC-
Hello Jean-Claude ! I’m fine in London ... pour répondre à ta question. Merci mille fois pour ton commentaire très encourageant, j’en suis vraiment heureuse car j’ai pris grand plaisir à écrire ce sonnet. Hélas je suis régulièrement piégée par les hiatus. J’essaie d’y faire très attention mais il y en a toujours un qui prend un malin plaisir à se glisser là où il ne faut pas. Mais j’espère m’améliorer.
Très bonne soirée à toi ! Annie
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Bonsoir Iktomi... J’aime bien ce texte qui, le décor planté, retrace bien l’esprit qui régnait à cette époque dans toutes les possessions d’outre-mer... Madame de*** faisait sans doute partie de la minorité si j’en crois mes lectures.
Quoi qu’il en soit, elle avait doublement raison ; tout d’abord pour n’avoir jamais soutenu l’esclavage et surtout pour avoir compris qu’il y a toujours un prix à payer.
1848, c’est l’année où Schoelcher finira par avoir raison de cette abomination, et ce, contre vents et marées.
J’ai écrit un Marchés noirs qui rejoint parfaitement ce texte.
Nous parlons le même langage mais il est toujours bon de multiplier les exemples concernant ce déplorable passé...
Bonne soirée. JC -
Bonjour Iktomi ! Très intéressante nouvelle et, bien que vivant à l’époque actuelle, j’ai, depuis longtemps, pensé la même chose que cette Madame de *** ! En fait pas exactement car je n’ai jamais souhaité ce cataclysme. Je suis seulement intimement persuadée qu’il y aura un prix à payer pour ces évènements passés peu compatibles avec les grands mots ou grandes idées que nous brandissons toujours, sans avoir conscience qu’ils sont en décalage avec nos actes. Merci pour cette lecture et très bon week-end à vous ! Annie
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Salut Iktomi ! Pour une surprise c’est une surprise et de plus une très bonne surprise ! Je parle de votre (ou de ton, c’est toi qui vois) arrivée sur la Plume... Le titre de la nouvelle m’a tout de suite mis la puce à l’oreille...
J’avais aimé ce crayon de couleur russe sur un site, disons concurrent, et je n’ai pas changé d’avis.
C’est une belle histoire, tout à fait plausible, et fort bien écrite ce qui ne gâte rien...
Je me permets de te souhaiter la bienvenue en cet espace de liberté que met à notre disposition, et ce depuis des années, l’ami Bernard, le très sympathique web-master de La Plume.
Bonne soirée et au plaisir de te lire. JC
1. Fragilité, 21 avril 2012, 18:49, par raymonde verney
fragilité certes mais pas sans talent la poésie est notre refuge epervier
bises
raymonde
2. Fragilité, 21 avril 2012, 19:57, par JCJugan
Bonsoir Epervier et bienvenue sur La Plume...
Je trouve que ce poème respire la sincérité et c’est sans aucun doute le plus important. Je ne puis que vous encourager à persévérer dans cette poésie qui semble vous libérer et vraiment vous tenir à cœur... Bonne continuation et bonne soirée. Cordialement, JC