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Je ne connaissais pas les mots de Tino Rossi... Ah, tu nous en apprends encore !!! Quand j’ai vu le titre, j’ai pensé que j’allais adorer.
Il est vrai qu’il ne fait pas toujours gris en Bretagne, et tu as bien de la chance, si tu as pu voir, hier soir, un beau coucher de soleil.
Ici, à Besançon, le temps est maussade, comme dans nombre de régions en ce moment. Fort heureusement, la ville est verte. C’est donc le gris et le vert qui l’emportent. -
Ah oui qu’elle est belle la Bretagne, comme toutes les autres régions de France d’ailleurs. Son ciel change de couleurs aussi vite que les vents le lui permettent.
Le rouge.. oui et avec les couleurs du drapeau blanc et noir, nous ne sommes pas loin de la chanson de Jeanne Mas "En rouge et noir" ou le roman de Stendahl "Le rouge et le noir".
Merci pour ce texte tout en couleurs.-
Tout d’abord Freya c’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé tes commentaires ; j’espère que tu vas bien et que nous aurons bientôt le plaisir de te lire...
Ce texte sans prétentions n’avait d’autre objectif que de jouer avec les couleurs et je pense qu’on peut en faire autant de toutes les régions... Quand l’inspiration n’est pas au rendez-vous il faut improviser pour garder un semblant de vie à cette Plume que je fréquente depuis si longtemps !
Au plaisir de te retrouver parmi nous avec nouvelles ou poésies... Merci pour ton passage... et prends soin de toi !
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Bonsoir Jean-Claude,
Quelle jolie palette de couleurs pour dépeindre cette si jolie région ! De la Bretagne de mes si lointaines vacances d’enfant, je garde le souvenir du bleu du ciel et de la mer, des vagues qui venaient mourir sur les rochers et... du goût des crêpes au beurre salé.
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Bonjour Jean-Claude ! Une façon bien élégante de nous conter cette "petite histoire" de la grande Histoire. Toujours très agréable à découvrir.
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Bonsoir Annie... J’ai découvert cette anecdote dans un bouquin qui traite des morts bizarres des hommes célèbres et j’ai donc essayé de le résumer à ma façon...
Ca ne restera pas dans les annales mais nous aurons au moins fait connaissance avec Antoine qui était aussi le père d’Henri IV ! Merci pour ton passage sur ce champ de bataille...
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1. S...M...S, 10 juillet 2014, 16:45, par Maya
Oui, on a tendance à massacrer "la langue de Molière", mais ce dernier en jouait aussi beaucoup. Je pense notamment à un passage du "Médecin malgré lui" que j’ai relu il y a peu. Cela dit, il rendait compte de parlers locaux, de gens non instruits, quant aujourd’hui nombre de jeunes gens scolarisés manient les lettres n’importe comment en se fiant à la seule phonétique. C’est rageant, Jean-Claude, et comprends bien tes mots.
1. S...M...S, 12 juillet 2014, 13:14, par JCJugan
Hello Maya... Molière reste malgré tout, à tort ou à raison, la référence à notre belle langue aujourd’hui martyrisée par les uns et les autres...
A l’école, j’ai toujours aimé le français, le latin et... le sport, beaucoup moins le reste, et ceci explique sans doute cela... Merci et bonne journée !