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Bonjour Delphine... Tout d’abord sache que je suis très heureux de retrouver ta plume sur La plume après tant d’années. C’était peut-être nécessaire mais quoi qu’il en soit tu n’as rien perdu du talent qui était déjà le tien à cette lointaine époque.
Joli texte un peu mélancolique, et pour cause, où la sensibilité féminine est palpable du début à la chute.Merci pour ce texte en guise de retour.
Amicalement... JC -
Bonjour Delphine,
Un bien joli "poème tristesse" qui crie plus qu’il ne parle du poids du silence. L’absence d’un être cher peut parfois être à ce prix douloureux. Avec le temps, que deviennent nos amitiés les plus belles ? Ce peut être aussi "Le tourbillon de la vie" comme le dit la chanson. On peut l’espérer, même si les larmes trahissent l’impatience de retrouvailles potentielles.
Au plaisir de te lire à nouveau.
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Bonjour Freya... Un journal télévisé sur mesures et malheureusement trop courant de nos jours... Tout est dit et bien dit... En effet, ce qui se passe sur notre vieille terre a de quoi repousser les Martiens !
Un texte vraiment d’actualité... Merci !-
J’ai toujours entendu dire qu’il fallait toujours commencer par balayer devant sa porte, malheureusement, il semble qu’entre le dire et le faire, il y ait un gouffre d’incompréhension.
Je me demande encore pourquoi avoir dépensé tant de milliards pour fêter l’an 2000 alors qu’à chaque journal, le monde reste encore et encore aussi peu civilisé.Merci Jean-Claude pour ton commentaire
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Salut Gual ! C’est toujours avec grand plaisir que je te vois revenir à tes premiers amours, La Plume, et que je lis avec émotion tes retours au passé... Ces musiques me parlent comme à toi mais les temps ont changé et ça n’intéresse plus grand monde...
Merci l’ami Gual et surtout ne me laisse pas tomber... sinon je serai bientôt le dernier des Mohicans sur le site ! -
Bonjour Gual,
Je ne suis pas sûre que tes oreilles soient ringardes... Personnellement, je trouve aussi que la musique contemporaine est composée de beaucoup de bruit.
En tout cas, nous nous rejoignons dans l’intérêt que nous portons à la musique des mots, et c’est tant mieux.
Merci de nous avoir donné ton joli sonnet à lire.
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Elle l’attend pour son plus grand désespoir. Peut-être faut-il un peu d’expérience dans une vie pour comprendre qu’en définitive il vaut mieux passer à autre chose, trouver suffisamment de force en soi pour accepter que l’on peut parfois être considéré comme pas grand-chose par certains individus que l’on aime, pourtant. C’est tout le paradoxe et la difficulté d’une telle situation.
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Oui, on a tendance à massacrer "la langue de Molière", mais ce dernier en jouait aussi beaucoup. Je pense notamment à un passage du "Médecin malgré lui" que j’ai relu il y a peu. Cela dit, il rendait compte de parlers locaux, de gens non instruits, quant aujourd’hui nombre de jeunes gens scolarisés manient les lettres n’importe comment en se fiant à la seule phonétique. C’est rageant, Jean-Claude, et comprends bien tes mots.
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Hello Maya... Molière reste malgré tout, à tort ou à raison, la référence à notre belle langue aujourd’hui martyrisée par les uns et les autres...
A l’école, j’ai toujours aimé le français, le latin et... le sport, beaucoup moins le reste, et ceci explique sans doute cela... Merci et bonne journée !
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1. L’estocade..., 7 septembre 2014, 14:56, par Annie
Bonjour Jean-Claude ! Extraordinaire comme tu as su trouver les mots justes. A la fin de la lecture, nulle colère ou vilenie ne nous habitent, seulement de la pitié pour les personnes concernées, peut-être ... Si quelqu’un doutait de la possibilité d’exprimer ce genre de choses en vers, tu démontres par ce sonnet, la réelle possibilité de le faire mais ... peut-être faut-il détenir un certain talent pour cela.
1. L’estocade..., 9 septembre 2014, 20:58, par JCJugan
Bonsoir Annie... Je n’ai d’autre talent que de jouer avec ces mots que j’aime passionnément... à condition de trouver un sujet et d’écrire dans ce cadre que m’offre la poésie "dite" classique.
Ici, si je ne juge pas les "partenaires", je déplore quand même le peu d’élégance qu’il y a à démolir son ancien compagnon se trouvant déjà dans une position assez peu confortable... Comme dit un vieil adage, On ne tire pas sur une ambulance ! Bonne soirée et merci pour ton passage