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Eh oui elle nous a dit au revoir et pourtant grâce à cette pub beaucoup on découvert que la coiffe bretonne n’était pas aux oubliettes. Cela a redonné une certaine émulation pour la broderie et les costumes également.
Ne pas oublier nos racines à l’heure où les jeunes croient que les téléphones portables et internet ont toujours existé et ne peuvent s’imaginer que l’on a pu vivre sans.
Merci Jean-Claude pour ces chroniques.-
Bonsoir Freya... Tout d’abord j’espère que tu vas bien !
C’est vrai qu’au delà de Tipiak elle a rappelé ce qu’étaient les us et coutumes de la Bretagne ce qui n’est pas sans intérêt à notre époque.
Oui, j’ai repris mes vieilles chroniques dont la première remonte à 2006 je crois. Je les écris avec plaisir mais il faut que l’actualité s’y prête et il ne faut bien sûr blesser personne... Merci et bonne soirée JC
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Merci de nous l’avoir fait partagé... A aucun moment je n’ai pensé que tu étais une voyeuse...
J’ai bien aimé lire cet instant où un vieil homme existe parmi les autres. Je trouve toutefois original qu’il puisse être aussi passionné de lecture au point de dévorer son roman en même temps que ses frites. J’aurais trouvé cela moins original si tu l’avais observé dans un café... Est-ce à dire qu’il comble une solitude avec Tom Clancy ? Peut-être. La lecture permet de s’enrichir, de s’évader, parfois de combler une solitude. En tout cas, c’est comme ça que je la perçois.
Et toi, qu’avais-tu dans ton assiette ? C’est dommage, on ne l’aura pas su... Je plaisante, et te souhaite un bon week-end.
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Je pense qu’il vit simplement comme il en a envie, il est sans doute seul, adore sans doute les frites et préfère les déguster au restaurant, mais sans complexe comme s’il était chez lui.
Ah dans mon assiette, petite curieuse ... je ris... eh bien des travers de porc marinés et en dessert des profiteroles.Merci de ta lecture et de ton commentaire
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Bonsoir Freya... Ah mais si, c’est de la poésie en prose et de qualité, sans flagornerie aucune ! Un texte très imagé par de multiples métaphores... les nuages de la solitude, la montagne de soucis, etc. Et c’est de plus une jolie déclaration d’amour... Que demander de plus ?
Bravo et très bonne soirée avec toute mon amitié... JC -
Oui, Freya,
Comme le dit Jean-Claude, il s’agit bien d’un poème en prose. Tu n’as pas de doute à avoir. On ne pense pas toujours à en composer, mais c’est une autre belle approche de la poésie.
J’aime beaucoup tes mots, porteurs d’espoir de par le futur que tu emploies dans "L’amour encore et toujours a fait et fera partie de nos vies." Le passé et le futur importent pour vivre le présent, malgré les obstacles qui parsèment parfois le chemin qui est le nôtre.
Très joli texte.
Au plaisir de te lire à nouveau.
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Bonsoir Jean-Claude ! Mado et Drine ... tout un programme à savourer et puis c’est écrit de telle façon qu’on s’y croirait vraiment. Ces dialogues c’est un peu comme une bouffée d’air frais qui vient réenchanter nos idées. Merci et bon week-end !
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Bonjour Annie... J’essaie de faire couleur locale sans tomber dans la caricature, ce que n’aimeraient pas Drine et Mado, respectivement (dans la vraie vie, comme on dit !)ma grand-mère maternelle, Alexandrine, et sa sœur Madeleine qui était donc ma grand-tante...
C’est un peu leur histoire et je pense qu’elles auraient réagi de cette manière à l’actualité de notre époque...
Sujet inépuisable mais à manier avec précaution...
Merci pour ton passage sur le parvis de l’église !
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Une "lichouserie" ? Qu’est-ce que ça peut bien être ? Ces soi-disant illettrées ont sûrement beaucoup de chose à m’apprendre. En tous cas, je ne suis pas contre de manger une bonne pâtisserie...
J’ai beaucoup aimé le ton de ton texte, vraiment superbe.
1. La feuille froissée, 18 novembre 2014, 18:37, par Freya
Regarder la page blanche comme une amie pleine de promesses que l’on tient même si elle ne veut pas se laisser faire.
Voici ce que m’inspire tes lignes
amitiés
1. La feuille froissée, 19 novembre 2014, 17:28, par Maya
Je préfère voir la page blanche comme une alliée, plutôt que comme une source d’angoisse telle que la vivent certains. Je sais que si l’inspiration manque, on la retrouve toujours quelque part. Elle n’est jamais bien loin. Il me semble que certains moments sont plus propices que d’autres pour écrire.
Alors là, je m’amuse. Je n’ai évidemment rien d’une louve dans la réalité.