-
Chère Maya,
Combien de jours chargés de tant d’aléas et parfois de souffrances. J’en avais même perdu mon mot de passe... ou bien est ce déjà ma mémoire qui s’efface.
Merci pour ce poème... pour ces mots qui m’ont fait retrouver le chemin de la plume.
Bisous Babou*-
Chère Babou,
je suis bien heureuse de t’avoir suggéré d’écrire.
Je m’étais moi-même éloignée de la plume durant quelques années. Je la reprends après avoir aussi bien souffert, même si j’écris moins spontanément qu’auparavant. L’inspiration me fait défaut, il semble. Mais cela reviendra. Je crois que c’est une question d’habitude. Quand on écrit, on écrit... Et ça fait tellement de bien, qu’on ne devrait jamais cesser.Je suis bien contente t’avoir retrouvée parmi les amis de la Plume. Les absents repasseront peut-être aussi selon les aléas de la vie. Je l’espère. Partager, même de façon virtuelle, est une richesse.
-
-
Bonjour Maya ! Agréable surprise ce matin en arrivant sur La Plume ... deux textes offerts à notre lecture, simples, vrais, réconfortants. Cette image des enfants jouant dans la neige et celle des enfants du passé jouant également en toute insouciance : y a-t-il quelque chose de changé ? Le jeu est le propre de l’enfance, loin des problèmes des adultes et il est heureux qu’ils puissent toujours en jouir dans les espaces que nous leur réservons. Belle journée à toi Maya. Amitiés. Annie
-
Bonjour Annie,
je suis bien contente de voir que les amis de la Plume sont toujours là... (Sourire).
Comme les enfants, nous jouons à écrire et c’est tant mieux. Il faut bien se garder des moments pour soi.
J’ai été vraiment heureuse d’entendre ces enfants rire. C’était si simple, si beau. Aujourd’hui, ils sont à l’école..., et la neige, pour un moment de répit, s’est arrêtée d’ensevelir la ville.
Bonne journée Annie,
et à tout bientôt.
Maya
-
-
Oui, en effet, les mots ont toute leur importance. Nous ne pourrions faire sans eux, ou bien difficilement... Nous avons besoin d’eux pour communiquer et penser. C’est essentiel. Quel émerveillement, aussi, par exemple, lorsque un enfant prononce ses premiers mots. C’est tout un devenir qui se crée avec tout un monde, des premières représentations, un début de vocabulaire...
Ce qui est formidable, aussi, tel que vous le dites, c’est que l’on peut jouer avec eux, et fort heureusement...Bonne journée. A bientôt.
1. Un dernier vers ?, 14 février 2015, 08:40, par Valérie Gaboriaud
Je prends avec plaisir. C’est léger, dansant, comme du Prévert même quand il n’est pas content.
Pauvre désespoir assis tout seul sur un banc...
Juste une question à la relève de maître Capellovici :
"Bien que Paroles de Prevert n’ait jamais eu d’effet pervers," (pardon si la citation n’est pas parfaitement exacte) je m’interroge sur le "n’ait" ; c’est clair tu fais référence au titre, mais là dans ce poème, pourquoi pas "n’aient" ? Ce que je veux savoir si tu as dû faire un choix ou bien si "n’ait" t’a semblé évident ?
1. Un dernier vers ?, 14 février 2015, 12:56, par JCJugan
Bonjour Valérie... Remarque justifiée et Maître Capellovici aurait sans doute également tiqué. Tacitement il s’agit du recueil intitulé Paroles d’où mon verbe au singulier sans y avoir vraiment réfléchi... Je devrais peut-être mettre Paroles entre guillemets ! Considérons ceci comme une licence poétique... et le tour est joué ! Merci pour ton passage et ton coup d’œil d’écrivaine... JC