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Hello Maya ! Je viens de relire ce texte (c’est parfois difficile d’accrocher "la Plume" avec ma connexion) et constate que sans "Liberté" de choisir, de penser et d’aimer,l’être humain peut se flétrir. Car la liberté ce n’est pas s’en aller n’importe où, sortir avec de multiples ami(e)s. C’est, enfin je crois, pouvoir se laisser aller à des pensées, des rêves, des activités au gré de nos humeurs sans être "bridé" par les jugements et propos négatifs d’un ami ou d’un compagnon qui n’accepte pas les différences de tempéraments, car c’est bien de cela qu’il s’agit n’est-ce pas ? Quel dommage et que faire pour s’épanouir ?
"... Il lui interdisait presque de faire ce que bon lui semblait..." là, c’est une forme d’esclavage psychologique ... enfin, je trouve. J’espère que la jeune femme n’est qu’un personnage imaginaire. Excellente journée à toi ! Amitiés sincères. Annie-
Bonjour Annie,
tu as très bien compris ce texte que je pense avoir mal écrit... Il ne s’agit pas vraiment d’un personnage imaginaire. Je me suis inspirée de ce que j’ai pu entendre. Fort heureusement, dans la réalité, l’amie a fini par quitter son compagnon.
On se lance parfois trop vite dans une relation quand on est jeune, sans réaliser sur le coup avec qui l’on est. C’était le cas de cette jeune femme qui a beaucoup souffert. Dans mon texte, je dis qu’elle n’osait se confier. Sans doute parce que ce dut être le cas un temps...
C’est vrai que certaines femmes souffrent psychologiquement. On parle souvent des violences physiques, mais on oublie aussi les violences psychologiques.
Merci de m’avoir lue, chère Annie.
Excellente journée à toi aussi.
A très bientôt.
Maya
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Le début d’une relation est toujours merveilleux, quelque chose en nous à tant besoin d’y croire. Et puis le temps passe et pas toujours dans le même sens ni le même désir du quotidien et les petits mots ou petites phrases font mal, de plus en plus mal. Souvent on doute "ne voit-on pas le mal là où il n’y en a pas", mais ce que l’on ressent n’est pas une illusion.
Merci pour ces lignes
Amicalement
Sylvie
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Hello Maya ! C’est extraordinaire ! Je me suis retrouvée, à quelques détails près, dans ces souvenirs d’enfance qui sont les tiens ! Instants privilégiés dont nous n’avions pas conscience. Ce sont eux pourtant qui ont participé à nous former pour la suite du parcours de nos vies ... enfin je crois. Merci pour ce texte rafraîchissant Maya et très bonne soirée à toi !
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Bonjour Annie,
tu as parfaitement raison. Ces souvenirs correspondent à des instants dont nous étions plein d’insouciance. Nous ne pensions pas alors qu’ils nous resteraient dans la durée. Sans doute, ces moments ont-ils un peu façonné nos vies. Là, j’évoque des moments passés en centre aéré, autant de moments de vie où j’ai appris à vivre en collectivité...
C’est drôle, car je me souviens bien de Carine, une copine de l’époque. Peut-être se souvient-elle de moi également... Quand je pense à ces instants, je me dis que nos propres enfants, ou nièces et neveux doivent vivre la même chose sans réaliser à quel point c’est capital pour eux. Vivre dans l’insouciance est un beau privilège de nos pays développés... Ailleurs, dans les pays du Sud, ce doit être plus délicat.
Merci Annie, d’avoir lu et commenté ce texte que j’ai pris beaucoup de plaisir à écrire.
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Ah le rêve de partir... Quel poète ne l’a pas éprouvé ? Ce texte me parle particulièrement en ce moment où j’envisage moi-même de bouger. J’aime tant voyager.
Dans ton poème, il s’agit de donner un contour précis à un rêve, mais pourquoi pas ? Il faut abandonner les peurs ; ça c’est sûr. Et voguer au gré des envies.
J’ai bien aimé l’expression "effleurer un mirage". C’est dire si le rêve est là, bien prégnant de réalité.
Merci pour ce poème.
A tout bientôt, chère Annie.-
Merci pour ton passage Maya et pour ton commentaire. Le voyage dont je parle n’est pas un voyage terrestre, je ne suis plus très jeune et de plus en plus souvent il m’arrive de penser, sans vraiment le chercher, "au dernier envol". Disons que j’essaie de relativiser et de me familiariser avec cette échéance ... tu vois !
En fait, c’est une réalité à laquelle nous devons faire face mais, tout dans la société semble être fait pour nous forcer à l’ignorer et pourtant ... " J’aimerais être esprit pour traverser l’espace et modeler le temps, à jamais, à l’infini ..." une devise secrète à moi, un peu délirant comme tu vois ! Parallèlement j’aime la vie et m’y trouve très bien, parfois même merveilleusement bien ... Allez, je te laisse en espérant ne pas avoir trop assombri ta soirée ! Amitiés sincères ! Annie
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Bonsoir Annie... Poésie mi libre, mi néo-classique, disons contemporaine et plutôt réussie... Je te retrouve parfaitement dans ces vers, toujours un peu rêveuse... avec l’envie de cet ailleurs qui sera peut-être moins lointain que tu le penses et où je te souhaite d’arriver le plus vite possible... Merci pour cette rêverie partagée !
1. La goualante du goéland, 2 juillet 2015, 14:56, par Gigi
Bonjour Jean Claude
Ce sujet a été évoqué aux infos, si ma mémoire est bonne. Trop de pêche tue la pêche, pourtant il doit bien y avoir de la place pour tout le monde. C’est comme chez moi, il existe des rapaces, par forcément ceux qui sont dans le dictionnaire. Ton sonnet est bien mené comme toujours.
Amitiés du Nord Ouest
Gigi
1. La goualante du goéland, 30 juillet 2015, 14:47, par JCJugan
Salut Gigi... Mais oui, y a de la place pour tout le monde d’autant que les goélands ne sont pas les pires prédateurs de ces savoureux mollusques. Il y a l’homme et la daurade qui sont en tête de liste ! Merci pour ton passage dans mes parcs à moules...