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Sofchadem

Poèmes tristesse 29 mai 2007
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C’est derniers temps, j’ai souvent remarqué que mon ombre et mes pensées s’en allaient discrètement par la porte de la bêtise.
Tous mes gestes sont incontrôlables et mes sentiments sonnent faux dans mes oreilles lorsque j’essaie de les dévoiler.
La porte claque et il n’y a plus moyen de revenir en arrière. Tout est perdu... Et puis je pourrais imaginer qu’il suffit d’une voix pour me faire croire à nouveau en moi. Mais la bêtise est trop lourde, le désespoir trop fort et je m’enfonce dans un secret où plus personne ne peut rentrer.
Je ne suis plus moi-même, je ne suis plus qu’un morceau de chair abandonnée là au coin du chemin. Mes sentiments pèsent au fond de moi comme une charge trop lourde de remords.
Enfin arrive l’envie soudaine de disparaître, de ne plus être ! Un besoin de coma pour se rendre compte et savoir si on m’aime, ce besoin de coma profond pour combler le trou de sentiments qui depuis trop longtemps existe. “Aimer ou être aimer” on pourrait dire aussi que : “Là est la question”.
L’impression d’être détestée, d’être inutile, l’impression que je pourrais mourir demain sans que personne ne s’en rende compte.
Le temps coule et m’oublie, les gens passent et me piétinent.
Mais quelle erreur ai-je donc commise ? Je voudrais à nouveau être une petite enfant que l’on prend dans ses bras, à qui on avoue la joie d’être ensemble.
J’aimerai revoir la couleur du bonheur.
Puis, il y a toutes ces questions qu’on se pose, qui répondent à un oui ou à un non, il y a les questions qui restent sans réponses. Il y a les questions qui changent toute une vie. Il y a aussi les questions à ceux qu’on aime et qui demandent tant de réflexions, alors qu’on aimerait une réponse sans plus attendre.
Mais le temps coule plus lentement pour celui qui attend que pour celui qui donne la réponse. Le temps rend malade, plus il passe, plus on a l’impression que tout est négatif et que jamais on ne sera heureux. Le temps passe et se tasse sans oublier qu’il me vieillit chaque jour un peu plus.

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