Epuisé est ce cœur qui souffre en silence...
Une vie terne qui n’a plus de nuances...
Qui traîne ses pas dans un monde d’incertitude...
Puis se pâme dans un désert infini de solitude...
Assoiffé d’amour, de tendresse et de bonheur...
Abattu et désespéré, vit s’effondre en lenteur...
Ses châteaux de rêves qui hélas ne durent guère...
Devenus châteaux de sables partis en chimères...
Peines...peines doux cœur que je berce...
Peine...endure ta douleur dans ce silence...
Peine au rythme de mes larmes et mes chagrins...
Peine est soit banni par un impitoyable destin...
Destin, toi cruel destin que je hais et maudis...
Sache que t’acharner contre moi ne m’affaibli...
Sache que vive force je chercherai et retrouverai...
Changerai mon cap et heureuse je serais...
Car
Je l’aurais déjà
Oublié...
H N 2007