... alors j’ai crié ton nom, dans ma tête en silence. J’ai mal, la douleur transperce mon crâne, les mots ne peuvent s’échapper, ils sont là, à l’intérieur, je hurle et ma bouche est muette.
Ce qui perle sur ma joue ce n’est pas une larme, c’est ton nom qui s’échappe goutte à goutte... et qui me tue.