se sont dissipées aux abords de l’été
rougissantes, ravissantes, elles s’émerveillent de leur audace
elles ! si timides ,ont osé sourire au matin égaré
oh ! bien sûr !il ne les a pas même remarquées
tout de même ces vierges affolantes ont su
se vêtir de grâce, tulle rose perlée
leur naïveté les a trompées, peu importe !
l’été sournois les avait mal conseillées
et ce vent jaloux, envieux, de si tôt
se levait afin de perturber l’atmosphère
elles y ont cru ces nymphes crédules
le matin débonnaire s’est installé les astreignant à se taire
ces aubes parfumées s’en sont allées
au gré du temps , souriantes, gracieuses
le soleil fut sensible à leur charme évanescent
je ne vous conte pas la suite ,devinez...