Avoir recours à son passé,
Plonger dans ses souvenirs glacés,
Quand ils n’ont pas de retour,
Pour éclairer nos vieilles histoires,
Empoussiérées dans nos armoires,
Faut-il que la mémoire vive ?
Pour parler de ces gens,
Qui ne parlent que d’argent,
Vaut-il mieux qu’on se taise ?
Pour enfin crier ton nom,
Au milieu d’une chanson,
Que j’ai composé pour toi,
Nous sommes des fleurs dans l’univers,
Que nous ouvrons à ciel ouvert,
Devant notre soleil d’amour,
Et c’est avec la femme de mon cœur,
Que je retrouverais mon présent, ma demeure,
Mon étoile qui brille au firmament,
Se souvenir du temps qui passe,
Comme les gouttes qui s’effacent,
Sous une pluie de rayons d’or,
S’élèvera une nouvelle aurore...