A trop vouloir toucher d’impossibles soleils,
A balancer ton corps de démons en merveilles,
A faire pleurer tes yeux au son des mandolines,
Guettant un chevalier dans son manteau d’hermine.
A balancer ton corps de démons en merveilles,
A faire pleurer tes yeux au son des mandolines,
Guettant un chevalier dans son manteau d’hermine.
A toujours reporter d’improbables départs,
A voir partir les trains en restant dans la gare,
A sans cesse vouloir l’amour sous les cascades,
En rêvant de serments au son des sérénades.
A voir partir les trains en restant dans la gare,
A sans cesse vouloir l’amour sous les cascades,
En rêvant de serments au son des sérénades.
A n’aimer que les fruits aux saveurs sans pareilles,
T’as laissé se flétrir le raisin sur la treille.
A toujours espérer décrocher les étoiles,
Attendant le bon vent qui gonflera tes voiles.
T’as laissé se flétrir le raisin sur la treille.
A toujours espérer décrocher les étoiles,
Attendant le bon vent qui gonflera tes voiles.
A toujours soupirer aux chansons Italiennes,
Qui te parlent de quais, de bateaux qui t’emmènent.
A toujours répéter "heureux qui comme Icare",
Tu t’es brûlé les ailes à des astres barbares.
Qui te parlent de quais, de bateaux qui t’emmènent.
A toujours répéter "heureux qui comme Icare",
Tu t’es brûlé les ailes à des astres barbares.
A remettre à demain le bonheur d’être aimée,
Cherchant le goût du miel dans le moindre baiser,
Cherchant le goût du miel dans le moindre baiser,
Te voilà seule avec ton chien.