Les ventres ronds des bourses pleines,
Sont aussi doués que les baleines,
A plonger leur nez dans les abîmes,
Et chanter ivres pour les femmes sublimes,
Celles ci choisissent les demeures,
Des ventres ronds des bourses pleines,
Puisque leur vie est bien meilleure,
Pourquoi veux tu qu’elles reviennent ?
Regarde, ils sont pareils que des goujats,
Ecoute leurs ronflements, sens leurs haleines,
Ce sont les ventres ronds des bourses pleines,
Qui se prennent pour des maharadjahs,
Les gloutons rapaces frappent à ta porte,
Et tu attends l’argent qu’ils apportent,
Les sirènes comme toi j’en connais des centaines,
J’ai le ventre rond et les bourses pleines.