L’héroïsme affectif, tel est l’apanage de la mère
Cette noble personne dont le cœur nous confère,
De splendides images sur une exceptionnelle tendresse
Laquelle naît avec le début de la sainte grossesse,
Et déferle magistralement au moment du délivre
Alors, l’effluente affection se révolte et s’enivre
Instaurant une interminable série de « chasses »
Pendant lesquelles la mère n’est jamais lasse ;
Sa progéniture pourrait être en butte à des effets maléfiques
Mais le cœur de la mère les poursuit d’un trait magnifique ;
Il récite ses glorieuses prières qui voudraient dire :
« Que toutes les forces du mal aillent déguerpir,
Pour que mes adorables enfants soient en sécurité,
Avant que la mienne, fort significative, soit « entité »
Ce qui honore la mère, c’est qu’elle est une « grande école »
Où les vertus de la société se forment et s’auréolent
Oh !ce qu’elle est auguste, sa grandeur d’âme !
Elle envoûte la révérence en jouant à la madame
La mère n’est rien de moins qu’une héroïne
Sa valeur intrinsèque jouit d’une beauté divine
Nous rapportant l’aveu du néant !
Que les tombes des mères mériteraient le panthéon
Le cœur de la mère est le symbole de l’affection
Qu’il porte aux cimes de la perfection
Dans l’art de « se sacrifier », il est un virtuose
Il fignole en nous l’admiration et l’impose
Le nec plus ultra de ses majestueux sacrifices
S’aperçoit dans une épopée comportant mère et son fils
Tous les deux, dans l’arène d’un certain casse-pipe
Confrontant les « dards ennemis » qui pipent ;
Un dard mortel a désigné le fils comme son point de mire
La mort du fils semblant imminente,…..quel délire !
Le corps maternel a intercepté le maudit dard, en tant qu’ « inférieur »
A l’ordre d’un tendre cœur maternel, en tant que « supérieur »