La transcendance de ses mœurs est notre exempleC’est elle qui nous procure l’inspiration insigne et ampleLa jactance de sa blancheur marmoréenne est notre inestimable trésorNous en tirons notre force, notre quiétude et le viatique de notre essorDe sa sépulture bénite et ambrée, émane l’arsenal thérapeuteHélant ce loufoque monde pour lui inculquer l’adieu de ses émeutesMais, hélas !ce véreux monde est obnubilé par la tempétueuse noirceurNéanmoins, le spectre de notre prophète « Mahomet » s’avérera le rédempteurAvant sa naissance, la terre se montrait une pièce théâtrale morne ;La déchéance, l’inclémence se pavanaient, l’inhumanité dépassait ses bornes ;Oh !comme il était écœurant, ,l’acte d’enterrer les filles nouvellement néesTellement insensés ceux qui l’avaient fait, ils seraient donc damnésLa loi de la jungle suscitait les bourreaux grincheuxFlagellant sans merci la délicatesse et les horizons heureuxA cette geignarde époque, tout convergeait vers la sévéritéComme si le genre humain manquait de l’extraordinaire aménitéAprès de longues périodes de tenaillement et de fielDieu, le tout-puissant, voulait que tout soit sérénité et « miel »C’était l’envoi de ce « blairé Mahomet », l’indicible miséricordeIncontestablement le tisserand, avec maestria, de l’avenante concordeIl avait embrasé les esprits assombris, par l’islam inégalableVéritable avatar historique, intemporellement valableVous etes le giron de la candeur, à perpetteVous etes le pionnier des médecins, le dompteur des tempêtesLes fleurs vous disent de merveilleuses chosesLa lune désireuse de vous ciseler l’apothéoseLa « panacée » est obligée de s’agenouiller devant votre altesseEntamant la légendaire « immanence », imposante et enchanteresseVotre resplendissante ame cèle une orgie de lumièresD’où sortent de prodigieux rayons ne connaissant point de frontièresSi l’inertie a la faculté de s’exprimerElle dira que l’éloge de « Mahomet » a le droit de primerL’apogée des panégyriques expressifs..........c’est couruPuisse « la chandelle inextinguible » savoir comme j’en suis féru
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La chandelle inextinguible
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la lumière melliflue