Je m’envole dans son beau monde
Où je dégote toujours ma réjouissance
Et pour lécher le tableau de sa quintessence
Je dis qu’il est le réceptacle de moult mondes
L’Internet est un espace d’information et de culture
Il est, à fortiori, le miroir de l’humanité
Via lequel on aperçoit sa « quiddité »
En s’égayant d’une magnifique diaprure
A travers lui, des humains se reconnaissent
Bâtissant, sic, la continuité des cœurs
Corroborant les socles du « vrai bonheur »
Et érigeant l’humanisme sans cesse
Grâce à lui, les distances raccourcissent
Le monde prend figure d’une seule tribu,
Où les communications épousent l’imbu,
Et où de nouvelles amitiés se tissent
Quand je suis dans un cybercafé,
J’emmagasine en moi la ferveur de me revoir
Assis en face d’un ordinateur, pour voir,
Le « réseau des réseaux », véritable « monde de fée »
L’Internet, l’un des fruits du progrès scientifique
Abonde bigrement en lumières crues
Dont l’utilité enfourche à cru,
Le fond des effets mirifiques
L’Internet contribue tellement au développent
Que ce soit à l’échelon subjectif,
Ou à celui concernant des points objectifs
Tout en surmontant des « pierres d’achoppement »
Malgré la dissémination des nations
L’Internet établit bien le « dialogue »
Et sert vraiment de « prologue »
A l’épanouissement des futures générations
Ça et là, l’Internet appose son paraphe
Là où il y a un cybercafé, des âmes humaines nagent
Cherchant l’émoustillant, faisant le voyage,
Au sein du « tape-à-l’œil » qui s’esclaffe !!!