L’amour dont tu parles
Qui décore les bals
Ne m’est jamais apparu
Je n’ai pas encore vu
Ses étincelles
Ni ses ailes
Parait-il qu’il y à des œillets sur son front
Qui bougent au moindre vent
Combien de fois j’ai attendu à sa porte
Pour boire l’air qu’il apporte
Parait-il aussi qu’il y a une heure du jour
Où il descend du haut de sa tour
Comme un bouillonnement
De flammes en furie
Et brûle aspire dévore
Bête hommes et femmes
En un clin d’œil
L’amour dont tu parles...
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