logo logo logo logo
  • Accueil
  • Découvrir
    • Derniers textes
    • Derniers poèmes
    • Auteurs
    • Textes
    • Réactions
  • Ateliers
    • A la manière de..
    • Les dix mots
    • Le thème en cours
  • Connexion
    • Se connecter
    • Se déconnecter
  • Contact
  • Tout ce que tu mérites !

    ...

    1. Accueil
    2. Tout ce que tu mérites !

papabul

Poèmes d’amour 3 avril 2007
Partager

Fiction (mais restons vigilants !)

"Et puis la majuscule ennui qui nous sclérose
Mon pauvre amour car nous pensons les mêmes choses
En attendant que l’Ange nous métamorphose..."
("A toi", Léo Ferré)(j’adoooooore ce Monsieur !)

Je t’aime tant, c’est évident,

pour toi je suis devenu poète

heu, enfin si l’on veut

mais tu sais, toi, ce que je veux dire..

Tu étais un rêve intouchable, intemporel

Mais te rêver ne me suffisait plus

je voulais te vivre,

et tu t’es laissée apprivoiser,

toi dont les yeux étincellent

d’une ‘explosivité’ à couper le souffle

qui me laisse toujours là,

haleine perdue, pantois..

Toi dont le sourire mange le visage,

j’aime ta peau sucrée,

je t’aime toi que je regarde dormir,

cherchant à décoder la fin de tes rêves,

en les suivant dans les mimiques

de ton visage endormi.

Je voulais les partager...

les partager alors que je te les volais peut-être...

J’aime quand nos épidermes se "hérissonnent" encore,

j’aime ces croisières voguées à deux

pour sécher certaines larmes de fond

j’aime le souffle qui nous rapproche

et nous pousse à vivre

Je t’avais dit

on va à s’amuser...

l’amour ça ne meurt que d’ennui !

Mon doux amour, nous pensions aux même choses

viens,

viens on va revoir la mer,

cette mer qui nous fait toujours tant rêver

cette mer, qui ce soir te ressemble étrangement...

Trop ébloui peut-être ?

je ne cherche aucune excuse,

je pensais partager,

je vivais à tes côtés...

courant ma vie toujours plus vite,

toujours plus loin,

croyant qu’apporter le confort suffirait au tien...

Tu me regardes étonnée,

tu ne comprends plus les données

Souvent, rentrant tard le soir,

je n’osais te réveiller,

me contentant de veiller sur ton sommeil.

J’ai toujours les mêmes envies

nous avons les enfants et la maison

nous avons "une belle vie »

c’est du moins ce que disent nos amis...

Je ne sais ni où, ni quand,

j’ai perdu de vue l’éclat de tes yeux

Curieux tour du destin ?

Même pas et j’assume mon aveuglément,

j’étais ailleurs, j’étais trop loin.

J’étais spectateur de tes rêves

rentrant trop tard pour les partager

Quel est cet orgueil qui m’a fait croire

que rien jamais ne pourrait changer..?

Pourtant, je t’assure, j’ai toujours le feu sacré,

pas suffisant sans doute pour te réchauffer

l’orgueil est assassin

et moi sans doute trop con,

poursuivant des chimères,

j’ai pas vu les fissures

et je perds aujourd’hui

la seule chose qui ait jamais compté...

Alors, bien entendu,

si c’est ce que tu choisis,

et puisque je t’aime tant,

si la solution est là...

alors, oui, va-t-en !

Va-t-en vite !

Va-t-en loin !

Je ne t’en voudrai pas

comment en vouloir à quelqu’un qui a raison ?

Et, aussi difficile que ce soit,

je le reconnais,

tu mérites bien mieux que moi... !

Fondu au noir sur une fin de journée maussade...
La pluie pèse aussi sur les arbres et leur donne un air si triste...

Je ne sais plus qui je suis,
Où je vais
J’aurais tellement voulu donner suite à nos idées...

A propos du texte
Commentez-le |  5 réactions

Lu : 1363 fois

Catégorie
  • Poèmes d’amour
Dans la même rubrique
  • Amy Madison (M. Zennaro)
    1er décembre 2023

    Comment lui dire ?

  • Raymonde Verney
    6 juin 2021

    sonnetin le baiser

  • JCJugan
    1er juin 2021

    L’Air du Temps

  • Muriel Roland Darcourt
    13 décembre 2019

    L’essence de l’obsession

logo

Mairie de Montmirail
Place Jeanne d'Arc,
51210,Montmirail

Restons connectés

Réseaux sociaux

Newsletter

Abonnez vous

  • Accueil
  • Connexion
  • Contact
La Plume et l'encrier ©2025