Les voiles mûrs, le ciel défait sur le lit du soir.La chaleur monte, feux éteints.Une musique se joue en notes éparses, de frémissements en caresses aveugles.La vie s’est muée en soupir.On est prêt à s’élever au chant de l’oiseauQui s’envole en mélopées suavesAvant de mourir sur nos rêvesFenêtre ouverte.
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Eparse
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