A l’heure des étranges morsures
le suprême aveu est une tempête.
Les yeux se courbent en nous.
Pour simplement respirer...
Encore respirer...
A mettre les cernes sous terre
je croise un automate à pensées,
il ne me persuadera pas.
Je continuerai de creuser la filière bleue
quitte à ne récolter que des souvenirs.
D’ailleurs,
Sont-ils passé ou futur ?
Sur notre chemin
un lancer d’arc en ciel...
Sur nos brèches,
le souffle arrondi d’un sourire...
L’avalanche des étreintes
à n’en plus finir...
© Emirelo - Octobre 2008
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