La Plume et l’encrier

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Seuls les anges ont des ailes... mais ils vivent au ciel !

vendredi 25 mai 2007

Par Claudie Becques Ah mon Dieu ! Comme j’aimerais ne pas plomber encore votre moral, mais comment se taire quand on a envie de hurler ?

Depuis hier, où la nouvelle est tombée sur les médias, il n’est pas une minute où je ne pense à ces deux gamines qui se sont défenestrées et qui luttent contre la mort.
Cette mort qui fait peur aux ados, tout en les fascinant.

S’il est un combat que j’essaie de mener parmi tous ceux auxquels nous sommes confrontés, c’est bien celui de la vigilance auprès de nos enfants qui, à l’âge de la transformation physique et mentale sont des petites bombes à retardement ambulantes.

Certaines explosent régulièrement leur agressivité en conflits verbaux avec leurs proches, et j’avoue que pour celles-là je ne me fais pas trop de soucis.
Celles dont il faut se méfier sont les silencieuses tellement plus dangereuses ou pire, celles qui semblent remontées comme des horloges suisses, avec un joyeux petit coucou (comme ma petite elfe de lune, anorexique - Texte )

Si le sujet me touche c’est parce que je souviens encore trop bien de celle que j’étais et de tout ce mal de vivre que je déversais alors sur le papier, moyen absolument sans danger que je préconise à Tous (je crois bien en avoir gardé quelques séquelles sourire).

Nos ados vivent aujourd’hui dans un monde de communication incessante :

* Leurs jeux vidéos vulgarisent la violence et les tueries à un point que certains ne savent plus faire la différence entre le virtuel et la réalité.
PARLEZ-EN AVEC EUX pour vérifier qu’ils saissisent bien la nuance.

* Chacun d’entre eux sont équipés de portable ce qui veut dire qu’ils ne se quittent jamais, et que le défi lancé à la récré peut ainsi lui être rabâché à toute heure du jour et de la nuit.
OBSERVEZ SA REACTION A CHAQUE FOIS QU’IL RACCROCHE et DIALOGUEZ !

* Beaucoup disposent d’ordinateur, et d’internet où ils vont chercher les idées qui ne leur seraient jamais venues et qu’ils se refilent via MSN...
SURVEILLEZ L’ORDINATEUR !

Vous pensez que VOS enfants ont davantage les pieds sur terre que ceux des autres ?
ALLEZ VOIR LEURS BLOGS ! C’est mon fils de 16 ans qui m’a donné le tuyau hier midi :
"Presque toutes les filles y mettent des articles sur les scarifications et autres moyens sordides de se faire souffrir..."

Ses mots m’obsèdent :
LE VOILA LE MOYEN DE SAVOIR VRAIMENT QUI SONT NOS ENFANTS.

Je sais, c’est une ingérance dans leurs jardins secrets, une façon de les espionner, une atteinte à leur vie privée.

Mais ne faut-il pas mieux prévenir que guérir ?
Qu’avons-nous de plus cher que nos enfants ?

Il ne s’agit pas de réprimander ni de punir, mais d’observer du coin de l’oeil, afin de voir d’où vient le danger, et de savoir finement aborder les sujets qui peuvent conduire au drame.

LE DIALOGUE EST LA CLE DE TOUT.

Je ne sais pas ce que la vie me réserve, ni si je suis une bonne mère, mais j’essaie de réunir les plus infimes petites chances pour réussir à en faire des adultes le plus équilibrés possible.
Si malgré ma vigilance, le pire m’arrivait, j’aurais peut-être moins de regret en n’ayant pas à me dire "Si j’avais su".

Et vous qu’en pensez-vous ?

Clo

Messages

  • A voir tes mots, Clo, je me dit que c’est une étrange coincidence... Si je ne regarde pas la tv -et donc je n’étais pas au courant pour les deux filles...- certains d’entre nous connaissent bien les souffrances qu’on peut s’infliger...

    Alors je ne sais pas, je n’ai pas encore l’age d’avoir des enfants, seulement celui de m’inquiéter, de me tourmenter pour toutes ces colères qui restent ancrées dans leurs cœurs, à mes amis...

    j’ai envie de dire qu’aimer sincèrement son enfant suffit... Lui consacrer temps et amour, l’écouter et le bercer de tendresse ; de nouveau, je n’ai jamais eu d’enfants, mais j’ai l’immense chance d’avoir été entourée d’amour depuis mon enfance.

    Cependant, et quand ca ne suffit pas ? Comment savoir qui risque justement de claquer entre nos doigts, qui va dévier, qui va sombrer ? Comment savoir comment les aider ?

    Je ne sais pas, Clo. On se sent parfois si impuissants...

    • Si tu n’as pas l’âge d’avoir des enfants Saskia, alors tu as l’âge d’être ma fille !
      Non, aimer sincèrement son enfant ne suffit pas malheureusement si on aime aveuglément.
      (Je l’ai vécu de près avec une amie).
      On croit trop souvent que s’il n’y a pas conflit dans le ménage et que l’amour baigne à la maion on est protégé. Ce n’est pas vrai.
      L’adolescence est un cap difficile à passer pour tous sans distinction et très souvent le jeune cache son mal être à ses proches pour ne pas les inquiéter.
      C’est pour çà qu’il faut toujours rester vigilant et c’est en parlant et en écoutant qu’on peut prévenir le danger.
      Quand on est mal dans sa tête on ne voit que le côté négatif de la vie, alors c’est notre rôle à tous de montrer que la vie vaut toujours la peine d’être vécue et que le soleil revient toujours même après les pluies diluviennes.
      Le but de ce post était de vous engager tous à vérifier sur le net si les blogs de ceux qui vous chers ont des articles qui peuvent présager un mal être et sans les attaquer de front, ce qui serait une erreur, seulement les inciter judicieusement à s’exprimer pour les aider.
      Néanmoins Saskia on ne peut qu’essayer...
      Tu ne dois jamais te sentir responsable du malheur des autres, nous ne sommes que de pauvres humains.
      Etre tout simplement là, c’est déjà beaucoup ! Bise. Clo

  • je comprends trop bien ce malaise Clo, personnellement, j’ai 4 enfants tous adultes maintenant et heureusement mais ce qui me fait peur c’est pour le futurs petits enfants. j’ai Deux petites filles que je ne connais pas malheureusement mais là est une autre histoire dont je ne ferais pas cas ici. Comment savoir si leurs parents les protègeront bien de tous ces danger que tu cites. Le dialogue reste très important mais faut-il pouvoir le faire et dans mon cas impossible pour elles et cela me fait mal, très mal.Je ne sais pas si moi j’ai été une bonne mère mes enfants ont souffert de trop de choses et certains sont marqués à au fer et pour la vie. est-ce de ma faute ? Je ne sais pas, j’ai fait ce que j’ai pu avec les moyens que j’avais à l’époque. un sujet qui me touche audelà de ce que l’on peut imaginer mais je tenais simplement à dire les choses telles quelles sont sans masque et sans nez rouge

    • Aimela, mon amie ! Loin de moi l’idée de remuer le couteau dans la plaie.
      Etre une bonne mère... Qui peut jurer l’avoir été où l’être.
      J’ai été très "serrée" par la mienne qui m’étouffait d’amour, et qui dictait ce que je devais faire ou penser, j’ai juré laisser plus de lest aux miens.
      J’ai essayé de le faire, on m’a reproché dernièrement de "tout leur passer"... Alors tu vois !
      Ce qui est bien pour l’un est mal pour l’autre.
      Moi je ne doute pas un instant que tu as fait pour eux les meilleurs choix avec comme tu le dis ce que tu avais.
      Si malheureusement tes enfants ne l’ont pas compris, çà viendra sûrement un jour lorsque le temps leur aura appris la leçon de la vie, qui n’a pas été douce avec toi et donc avec eux.
      Tu n’as rien à te reprocher et pour tes petits enfants encore moins !
      Tu sais, même dans la très haute Société où règne l’opulence, les choses ne sont guère plus heureuses.
      Comme je le disais à Saskia, on peut juste essayer, mais il ne faut ps pour autant se sentir responsable de tous les malheurs qui nous entourent.
      Bises. Clo

  • Le dialogue, comme tu as raison, passer du temps à écouter, faire l’effort de comprendre sans vouloir toujours donner des leçons de morales.. J’ai été un de ces enfants là, vraiment, au bord du gouffre.. je ne sais pas ce qui m’a retenu, mais je suis heureux de n’avoir en définitive pas osé (il y a de cela sans doute)
    j’ai 2 enfants, adultes maintenant, je trop souvent voyagé, mais à chaque fois que j’étais avec eux j’essayais d’être disponible.. y suis-je parvenu, eux seuls peuvent le dire.. mais bon, ils ont l’air de bien se débrouiller dans leur vies et leurs choix..

    J’ai travaillé un peu dans ce domaine au début de ma carrière.. il n’y a pas de "leçon", chaque cas semble unique mais toujours si difficile à comprendre..
    alors oui, je le crois.. le dialogue, l’écoute, l’amour, le temps passé pour et pas simplement "avec".
    merci pour ce cri d’alarme !

    • Je suis très heureuse aussi que tu n’aies pas osé... tout comme moi !

      Tu vois Papabul finalement le problème n’est pas nouveau et l’adolescence a généré dans toutes les générations les mêmes doutes et mêmes souffrances.

      Le problème c’est que de nos jours les jeunes "se passent les mauvaises idées" à plus grande échelle via le Net et les portables.
      Et nous parents, on se sent encore plus démunis !

  • J’ai été moi aussi très choquée par la nouvelle, jusqu’ où iront ces "jeux" ou "défis" que nos ados en mal de vivre inventent sans arrêt.

    L’adolescence est un cap difficile, on ne l’apprendra à personne (nous sommes tous passés par là) et la société actuelle n’arrange rien. Ils ont encore plus de mal à se faire une place dans ce monde ultra consommateur qui ressemble de plus en plus à une jungle.

    Je travaille, comme tu le sais, quotidiennement avec des ados et j’ai la chance d’avoir un "bon contact" avec eux. Ils se confient facilement et savent que j’ai toujours cinq minutes entre deux cours à leur consacrer, et même plus en fin de journée si le besoin se fait sentir. De plus en plus, nous sommes obligés de sortir de notre rôle premier d’enseignant pour endosser le costume d’éducateur et de nous substituer à certains parents.

    Les conseils que tu donnes, tous les parents dignes de ce nom, les appliquent de façon innée, avec plus ou moins de succés. Par contre d’autres ne se rendent pas toujours compte que leur rôle ne se limite pas à mettre des enfants au monde et que c’est après que tout est à faire...
    Et puis il y a ceux qui ont tout fait, tout donné pour leurs enfants et qui malgré leurs efforts se retrouvent face à un mur : dialogue rompu, incompréhension et rejet... c’est là que le danger apparaît car le jeune en rupture va aller chercher ailleurs les sensations fortes dont il a besoin pour se faire une petite place et pour crier son mal être...

    Y a t’il une solution, LA solution ? Je ne pense pas : peut-être seulement cesser de vouloir les faire rentrer dans un moule trop étroit pour eux et puis les accepter tels qu’ils sont, avec leurs révoltes, leurs angoisses et leurs envies... et être là quand ils ont besoin de nous sans jamais les juger...

    • Outre la vigilance des parents pour leurs enfants, je sais l’importance du soutien des professeurs pour les jeunes en souffrance.
      Et je ne doute pas un seul instant, avec la sensibilité qui te caractérise, de l’intérêt que tu dois témoigner à tes élèves.

      Si "ma petite elfe de lune" commence à reprendre goût à la vie c’est sans doute en grande partie du à quelques uns de ses professeurs qui ont toujours garder contact avec elle, même quand elle était hospitalisée et qui maintenaient le dialogue qu’elle n’avait plus avec ses parents.
      L’écriture lui a permis d’évacuer aussi les mots qui l’étouffaient.

      Je crois profondément au pouvoir de l’écrit justement parce que c’est un moyen de déverser ses plus intimes sentiments, sans que quiconque conteste ou juge et que l’on peut faire ainsi exploser ce moule dont tu nous parles.

      Mais bien entendu chaque être est différent et l’on ne pourra jamais éviter l’inacceptable, malgré tout notre bon vouloir.

  • Je... n’avais pas regardé la télé à l’heure de la nouvelle non plus...Et je suis dans le même cas que Saskia, sauf que je ne suis pas encore dans l’âge d’être adulte. (Eh oui, elle devient grande, bientôt 19 !)

    Mais l’autre jour, j’ai fait un tilt dans ma tête ; car moi, je préfère observer et consoler plutôt que de m’enfoncer ou raconter mes problèmes.

    "Avant, les jeunes qui se faisaient gueuler dessus par leurs parents ou bien si un grand leur faisait la morale, ils faisaient tout pour redresser la barre, essayer de ne plus déçevoir leurs parents, que les grands soient fiers d’eux.

    Désormais, lorsqu’un grand ou un parent fait la morale à un jeune, celui-ci a deux phases : d’abord il s’engueule avec le grand, il essaye de lui faire comprendre qu’il n’a pas à venir dans sa vie, et la deuxième est qu’il ne se remet presque pas en question, il s’enfonce et se dit qu’il n’est plus bon à rien, que même ses parents ne l’aiment plus,..."

    Je pense que je peux parler de ça en connaissance de causes, parce que j’ai des amis "comme ça".

    Tu sais, quand on est jeune, on ne réfléchit trop à l’avenir, et trop au notre passé, on vit aussi l’instant présent, on est entre deux, c’est à notre âge que l’on tente d’acquérir une réputation, ou encore de trouver notre personne, ou encore de se modifier parce qu’on se trouve pas à notre goût.
    Quant à msn et tout ça, nos parents sont sceptiques au début, puis après ils se disent que de toute façon, ça ne peut pas aller bien loin, un pc...ou un gsm... Personne n’est tout à fait conscient du danger qu’il représente, même pas nous.

    En se lançant dans des aventures virtuelles, on en fait une vie, notre vie, on trouve cela amusant, on se dit que nos amis de la réalité ne valent rien comparé à ce que les amis virtuels nous offrent... (désolée pour les termes "virtuels" et "réels" qui sont censés décrire nos amis mais j’ai pas trouvé d’autres mots)

    Comment les parents voudraient-ils aller se renseigner alors qu’ils pensent tout contrôler, comment un ado pourrait-il s’éloigner alors qu’il se sent bien et compris par ceux avec qui il discute en "tout anonymat" ? Et qu’il ne se rend pas compte lui-même de ce danger... Quelque part, on vit dans le mensonge. Car on n’avoue rien à nos parents et entourage... Ou presque rien, dumoins.

    Quand on est jeune, on pense avoir une vie surchargée, on se la surcharge soi-même, et puis aussi on exagère un peu tout. Chaque petit éclat de souffrance peut être dramatique, et enfoncer l’ado. Hors qu’en fait, c’est un petit rien !

    Par rapport à l’avis de ton fils, de ce que tu énonces dans le texte concernant les blogs, c’est vrai, la plupart des gens créent cela juste pour le fun, au début, et puis en voyant qu’après tout la vie est "merdique" (je reprend certaines pensées que j’ai lues en me baladant sur des blogs pareils), ils se confient, puis ils vont sur d’autres blogs, ils regardent des vidéos trash, ils mettent des images... Mais crois moi, les propriétaires du site ont mis un règlement, et l’autre jour, un blog d’une fille que je connais par un ami s’est fait supprimé faute d’une image trop trash (automutilation j’pense). Les grands veillent...
    Puis en confiant tout à un blog, c’est pas comme dans un journal intime, les jeunes sont persuadés que quelque part quelqu’un d’autre pense comme eux, on peut y mettre des commentaires, alors ça leur plaît, ils se sentent soutenus ! (A cet âge, on se révolte contre les parents, donc on fait appel aux amis, je crois que tu le sais ^^)
    Or ... parfois ça conduit à une égocentricité démesurée.

    Je ne sais pas la solution, car désormais dans la société actuelle, les parents ne peuvent plus contrôler la vie de leur enfant, ni même être près de lui, car il les fuit. Déjà, à l’école, on (=> les amis) lui fait comprendre pleins de choses, à cet enfant, et ado il s’échappera sur internet et autres... Donc pour les parents, ce ne sera qu’une ombre qui dine avec eux, qui lui montre ses résultats (et encore, ça dépend des écoles), qui dort et qui se douche.

    Je ne sais pas si c’est une réponse ou une explication ou quoique ce soit, je suis désolée si je t’apprend rien, mais quand j’ai lu ça (hum, aujourd’hui, désolée d’être six guerres en retard :p) j’ai dû répondre ^^

    Lyrael.

    • Mais c’est super intéressant d’avoir ton point de vue Lyrael !
      Et surtout un grand merci parce que je n’ai pas trop veilli finalement !
      ==> "Avant, les jeunes qui se faisaient gueuler dessus par leurs parents ou bien si un grand leur faisait la morale, ils faisaient tout pour redresser la barre, essayer de ne plus déçevoir leurs parents, que les grands soient fiers d’eux.
      Tout à fait exact !!! Tout ce que je faisais c’était pour plaire à mes parents et quand je faisais qqchose de travers ouille ouille ouille !!! ma mère m’attendait du haut de ses 1m50 et crois-moi j’écoutais sans broncher ! (rires)

      ==> "Quant à msn et tout ça, nos parents sont sceptiques au début, puis après ils se disent que de toute façon, ça ne peut pas aller bien loin, un pc...ou un gsm... Personne n’est tout à fait conscient du danger qu’il représente, même pas nous."
      MSN est super quand il s’agit de converser avec des copains de quartier ou d’école mais méfiance quand il s’agit de contacts inconnus, on voit aux infos jusqu’où çà peut mener quelquefois.

      ==> "En se lançant dans des aventures virtuelles, on en fait une vie, notre vie, on trouve cela amusant, on se dit que nos amis de la réalité ne valent rien comparé à ce que les amis virtuels nous offrent... (désolée pour les termes "virtuels" et "réels" qui sont censés décrire nos amis mais j’ai pas trouvé d’autres mots)"
      Ne sois pas désolée j’emploi les mêmes termes. Je ne suis pas certaine que les plumés soient très contents de savoir qu’ils sont mes amis virtuels, mais pourtant tu as raison ils font partie intégrante de ma vie (même si je ne suis plus une ado) et j’ai avec certains d’entre eux plus de complicité qu’avec mes proches (famille et amis). Je comprends donc ce que tu veux dire.
      Je me souviens que ma fille qui a d’ailleurs rencontré son premier amour sur MSN (à 800 km de chez nous, un inconnu que nous avons accueilli à la maison c’est dire si je connais le prb) m’a dit un jour, qu’elle ne pouvait que se confier qu’à quelqu’un d’autre que ses copines ou sa mère parce que c’était "sans conséquence".

      ==> pour ce qui est des blogs, certains "grands" ou "vieux" veillent mais il y en a tant qu’ils ne peuvent pas tout voir. C’est à des jeunes comme toi de leur dire de se méfier sur tel ado qui publie ce genre d’article... Je sais c’est pas facile, çà ressemble à de la dénonciation, et pourtant !

      ==> en résumé tu ne vois pas de solution, et tes mots :"ce ne sera qu’une ombre qui dine avec eux, qui lui montre ses résultats (et encore, ça dépend des écoles), qui dort et qui se douche." me font très mal parce que tu as raison, on ne sait de ses enfants que ce qu’ils veulent bien nous laisser découvrir.

      Alors tu vois si c’est pas toujours marrant d’être jeune, c’est vraiment pas simple non plus d’être parents !

      Merci à toi pour cet échange, et excuse le retard que j’ai mis pour la réponse mais mon fils squatte toujours l’ordi ces temps-ci... il est DEJA en vacances !!!

      Clo

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