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  • 1. > Un matin de bonne heure, 27 janvier 2005, 20:18, par Bernard

    Comme un petit Dimanche matin...sans souci.
    J’aime bien cet ambiance qui se dégage de ton texte
    on se sent bien. Je reprendais bien une tartine là !
    Je peux ?

    • 1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:25

      Avec plaisir, tiens, sert-toi !!

  • 2. > Un matin de bonne heure, 27 janvier 2005, 20:24, par Delphine Lemaire

    Un petit matin de bonheur, tu veux dire....Alors comme ça tu mets une épaisse couche de beurre sur ton pain.....??? Au prix où il est....???? C’était vraiment un matin pas comme les autres....!!!

    J’aime beaucoup ton texte Franz, cette ambiance feutrée, douce, préservée....fragile comme une trêve, un répit....Ca fait du bien....très reposant....!!!

    • 1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:24

      Ce matin-là, j’ai mis en effet beaucoup de beurre sur le pain frais ! Et c’était bon ! Et c’était exceptionnel !
      Merci Delph.

  • 3. > Un matin de bonne heure, 27 janvier 2005, 20:42

    Le bonheur est une suite de petits matins fugaces et d’instants pris à la vie que l’on ne sait pas toujours apprécier et voir. Ce sont pourtant ces moments que plus tard on met bout à bout pour dire en fait j’ai été heureux mais j’ai toujours cherché trop loin ce bonheur que j’avais à portée de la main.

    Merci François texte qui dit bien ce qu’il a à dire.

    • 1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:22

      [… pris à la vie…] je préfère construits !
      Merci de ce commentaire.

  • 4. > Un matin de bonne heure, 5 février 2005, 12:26, par Vanina H

    Un petit matin, bien agréable, qui donne envie d’être vécu. Il me rappelle certains dimanches de mon enfance, la famille en plus. Merci François, pour cet agréable moment, passé à te lire.

    • 1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:20

      On le sait unique ment au moment où cela ce passe !

  • 5. > Un matin de bonne heure, 6 février 2005, 09:41, par viviane Lamarlère

    ces petits matins tous doux, où les choses les plus simples ont un goût de miracle.

    merci François de ce moment très doux.

    • 1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:18

      Merci Viviane, tu résumes précisément ce texte.

      J’espère que c’est comme ça que l’on répond aux commentaires ! Hein ! Bernard ?

  • 6. > Un matin de bonne heure, 11 février 2005, 06:56, par Clo

    Ce petit plaisir fugace là... c’est celui que je préfère.
    De tous les moments d’une journée de vacances, tu as très bien su décrire mon moment favori.

  • 7. > Un matin de bonne heure, 30 mars 2005, 12:43, par genou

    D’ici je vois le spectacle . Demain j’ai fait autant

    Merci François pour cet agréable moment

  • 1. > Une goutte de pluie, 25 janvier 2005, 20:18, par Delphine

    Ne crois-tu pas Viviane que la pluie est le désespoir....?? L’espoir revient toujours avec l’arc en ciel....surtout ne jamais perdre espoir même si les gouttes d’eau se mêlent aux larmes....

    • 1. > Une goutte de pluie, 30 janvier 2005, 16:33

      Je ne sais plus Delphine del Mar
      Où sont les larmes , où est la pluie
      je sais juste la tristesse noire
      Et l’attente que se déchire
      un voile........

  • 2. > Une goutte de pluie, 5 février 2005, 11:22, par Vanina H

    Il me chamboule ce texte-là, pluie et larme confondues, vie et mort liées… Et malgré toute la tristesse, tout le renoncement, il y a tant de douceur. C’est magnifique Viviane.

    • 1. > Une goutte de pluie, 12 février 2005, 19:23, par viviane Lamarlère

      merci Vanina, il m’a chamboulée au moment de l’écrire...

  • 3. > Une goutte de pluie, 21 juillet 2005, 17:01, par Aimelasorc

    Elle est peut être triste lorsqu’elle tombe mais quel espoir elle donne. Si elle est fine, elle nourrit le sol et puis elle a toutes les chances de retrouver son nuage. Le soleil luit et la vapeur se redépose sur le nuage. Tu vois un éternel recommencement. J’aime la pluie

    • 1. > Une goutte de pluie, 22 juillet 2005, 10:40, par Viviane

      Comme il est doux ce commentaire.

      J’aime aussi la pluie, la bruine plus précisément, celle qui fait comme un habit. Et qui donne ce sentiment de ne savoir où commence la terre ou se finit le ciel.

      Bisous , Aimela, je vais être absente quelques jours je vais voir.. devine qui !! Merlin !

      Voir en ligne : Un autre bouquet pour toi, de ceux que la pluie nourrit..

  • 1. > D’où viens tu, grand Père ?, 25 janvier 2005, 20:24, par Delphine

    Ce poème est vraiment très triste....j’espère n’avoir jamais à vivre ces heures sans rêve et sans désir...Rêver, souhaiter, donner, recevoir.....tout simplement vivre.

    Mais il est vrai aussi que se retrouver entre les pages d’un livre c’est refuser la solitude....et retrouver la quiétude de l’âme.....

    • 1. > D’où viens tu, grand Père ?, 22 février 2005, 16:56, par viviane Lamarlère

      Triste, je ne dirais pas. Plutôt de la couleur résignée du grand age.. je l’ai écrit en pensant à mon grand père en fait, qui aimait son jardin et ses livres. Et se coulait petit à petit dan sune ombre protectrice.. Bisous à toi, Fée de la mer et pardon pour ce retard à répondre..

  • 2. > D’où viens tu, grand Père ?, 18 février 2005, 14:49, par Clo

    J’ai beaucoup aimé ce texte, doux et résigné.
    Néanmoins il me laisse un sentiment de grande tristesse et celà amplifie ma peur de la vieillesse. A l’heure du grand bilan, ne ressent-on vraiment que ce grand vide ?
    Je ne suis pas pressée de le vérifier !

    • 1. > D’où viens tu, grand Père ?, 22 février 2005, 16:58, par viviane Lamarlère

      A l’heure du grand bilan, pour ce que j’ai pu en voir auprès de personnes très agées accompagnées en maison de retraite, le vide les aspire et elles en sont presque soulagées. Vers la fin la vie semble peser.. ce qui fait que je n’ai aucune peur de la mort. Elle doit être réellement une délivrance. Amitiés à toi Clo !

  • 3. > D’où viens tu, grand Père ?, 1er avril 2005, 12:14, par Claude Cordier

    Oh lala, je commence, il y en a tant et tant, celui là est joyeux. mon grand père Marius m’a légué ses carnets de route pendant la guerre de 14 et ses médailles, lui et son père Jules sont bien les seuls liens qui dérapent dans mes existences réincarnées, car ils sont souvenir vivace en mon esprit.
    Je continue dès que je peux (boulot....)

    • 1. > D’où viens tu, grand Père ?, 1er avril 2005, 14:04, par Viviane Lamarlère

      Tu es un amour Fille de Hopis de venir nous rendre visite.

      je te souhaite une belle promenade dans notre antre qui fleure l’encaustique et les pages jaunies..
      Baisers de soeur.

  • 4. > D’où viens tu, grand Père ?, 18 avril 2005, 19:45, par Alain Seyrac

    Quel régal poétique, ce dialogue avec ton (?) grand-père ! Quelle vie riche fut la sienne partagée entre les caresses des femmes et l’odeur des livres ! Et quel plaisir de te lire à nouveau !

    Bisous sur ce nouveau site où ton talent est toujours intact.

    • 1. > D’où viens tu, grand Père ?, 18 avril 2005, 19:58

      Poète, quel bonheur de te lire à nouveau.

      Tu es une plume , et quelle plume.
      Rejoins nous.

      Nous sommes ici entre amis qui ont choisi la douceur et la tendresse. Notre hôte nous offre un site qui ne cesse de grandir en beauté et possibilités. Explore le et offre nous ces beautés qui sortent de ton encre.

      je t’embrasse très très fort.

  • 5. D’où viens tu, grand Père ?, 21 août 2007, 11:44, par Claude DUPOUY

    Viviane,

    Poème d’une vie de désirs
    Et de fin d’un monde.
    Il ne reste, pour effacer le pire,
    Qu’un livre, témoin de chaque seconde.

    Poétiquement, Claude.

  • 1. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 25 janvier 2005, 20:37, par Bernard

    J’aime bien ton texte, mais tu le sais déjà, non ? Et puis j’aime pas les nuits sans étoiles, sinon que regarder les soirs d’été dans le jardin ?

    • 1. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 27 janvier 2005, 17:10, par Delphine Lemaire

      Moi non plus je n’aime pas voir une nuit sans étoile....mais il y en a toujours une qui brille à mes côtés.....

  • 2. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 10 février 2005, 21:55, par Dominique

    Ton texte est beau et trés dur. J’aime beaucoup l’image des étoiles qui s’éteignent.
    Le plus triste, c’est que cela pourrait être une histoire véridique.

    • 1. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 14 février 2005, 09:28, par Delphine Lemaire

      Les étoiles sont en harmonie avec nous et une légende sud américaine dit que lorsqu’un homme pleure, une étoile verse des larmes de glace quelque part dans la galaxie....
      Merci de ta lecture Dominique....

  • 3. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 11 février 2005, 06:53, par Clo

    Que j’aime ce si beau texte !

    • 1. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 14 février 2005, 09:31, par Delphine Lemaire

      Merci Clo....un peu triste mais ce n’est qu’une légende. Quoique.....c’est si touchant un homme qui pleure.....!!!
      Merci de ta lecture....

  • 4. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 30 mars 2005, 12:40, par genou

    Merci Delphine pour ce texte magnifique – une légende qui parfois ressemble à la réalité

    • 1. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 31 mars 2005, 20:37, par Delphine Lemaire

      En effet, combien de fois ai-je entendu des parents dire à un petit garçon, qu’il ne devait pas pleurer, parce qu’il devait se montrer très fort pour devenir un homme. Comme si les larmes étaient l’apanage des femmes et signe de faiblesse !
      Moi un homme qui pleure me fait craquer, je n’ai qu’une envie c’est de le prendre dans mes bras et de le consoler.... ;o)
      Merci de ta lecture Genou...

  • 5. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 28 août 2005, 22:45, par florine

    ce sont mes larmes à moi qui ont coulé, cet homme là je le connais.

    • 1. > L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 29 août 2005, 21:38

      Il y a tant d’hommes comme ça Florine qui nous font verser tant de larmes....
      Merci de ta lecture....

  • 6. L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 20 novembre 2005, 10:50, par Vanina H

    Je me souvenais de celui-ci... A juste titre... glaçant !
    Sourire

    • 1. L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 20 novembre 2005, 22:18, par Delphine Lemaire

      Et j’en suis fière de celui-ci, en fait je suis surtout fière de la magnifique calligraphie qu’en a fait Christophe.

      Elle reste en plus liée à un superbe moment passé tous ensemble....

      Souvenir en forme de sourire...

  • 7. L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 7 janvier 2006, 21:45, par lgilles

    Un homme sans larmes ne peut être que malheureux car pour ma part il m’est souvent arriver de pleurer. De rire, je l’admets mais, les larmes sont une façon de vider ces tensions.
    Très beau texte.
    Amitiés..
    LGilles

    • 1. L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 8 janvier 2006, 19:29, par Delphine Lemaire

      S’il t’arrive souvent de pleurer de rire tu as bien de la chance Gilles...!!!

      C’est vrai que pleurer apaise les tensions, qu’elles soient de chagrin ou de rire les larmes sont un exhutoire à sentiment...

      Merci de ta lecture Gilles....

      Amitié..

  • 8. L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 24 avril 2006, 22:53, par eden blu

    ce qu’inculque les parents est indélébile, à moins de se rebeller et encore
    très beau texte

    • 1. L’homme qui fit pleurer les étoiles...., 25 avril 2006, 22:51, par Delphine Lemaire

      Oh que oui, nous gardons toujours au fond de nous les réminiscences de ce qui nous a été enseigné. Et je pense même que la rebellion est bien souvent inutile... "chassez le naturel il revient au galop" !

      Merci encore de votre commentaire Eden.

  • 1. > Nouvel article, 24 janvier 2005, 18:57, par Delphine Lemaire

    Les arbres sont symbôles de vie....ils tracent nos destinées....! S’accrocher à une branche et la suivre jusqu’au bout car telle est la route définie.... Un texte tout en sagesse et en justesse....!
    J’aime beaucoup les arbres pour tout ce qu’il représente de force, de vigueur et de sécurité....et tu en as donné ici une belle preuve....

    • 1. > Nouvel article, 9 septembre 2005, 14:01, par Violaine

      Merci Delphine pour cette tardive lecture, cet arbre a une histoire ... peut être la raison justement du temps loin de lui.

  • 2. > L’arbre de l’espoir, 5 février 2005, 11:36, par Vanina H

    Très belle métaphore des chemins de la vie et des branches de l’arbre. Savoir enfin, savoir déjà, que le chemin que l’on suit, on l’a réellement choisi et qu’il ne s’agit pas là d’une erreur de plus… ; bref ta dernière phrase est pleine de promesses.

    • 1. > L’arbre de l’espoir, 9 septembre 2005, 14:02, par Violaine

      Vanina bisous et merci à toi. L’arbre met du temps pour pousser, et la vie ... nous pousse vers des chemins tortueux, mais là où est l’amitié l’on revient toujours.

  • 3. > L’arbre de l’espoir, 8 mars 2005, 19:58, par BlackCrow

    Un arbre pour toi...
    Un chemin de briques jaunes pour moi.
    Pourtant le message est le même, les questions aussi.

    J’aime ce regard que tu portes à la vie, portée par tout le poids de ton humanité, de tes doutes et de tes espérances...

    Et toujours cette magnifique plume d’où s’écoule l’encre de ton talent...

    • 1. > L’arbre de l’espoir, 9 septembre 2005, 14:08, par Violaine

      Toi mon ami dont les méandres de la vie sont ce qui te pousse à avancer, toi mon ami dont le chemin de briques jaune est l’or de ta ferveur et de ta constance, toi mon ami je t’aime de cette amitié que l’on explique pas.

  • 1. > Jeux dangereux, 24 janvier 2005, 17:50

    De La Fontaine de ces mots je m’hydrate et t’en tire révérence. Las ! Parfois je me suis senti ici comme charmeur mais trop d’honneur je m’accordais à moi-même et d’une authentique lecture (délaissant ainsi mon plaisir narcissique) j’ai poursuivi l’ouvrage me disant cependant que vieux je n’étais pas vraiment. De la petite souris si charmante, je conserverai une image poignante car ici je les chasse mais en ce Londres (où tu ravis) alors je veux bien sombrer sous le charme. Puis j’ai revu ce délicieux film de WD et aussi la culotte de SH, ce fameux détective londonien. Ainsi, sur ces trois références, je te tire la mienne et te complimente d’autant (sauf que mon dos crie assez).

    • 1. > Jeux dangereux, 8 septembre 2005, 16:44, par Violaine

      Voila un commentaire, et enfin j’y réponds, la vie est si avide de temps qu’elle nous le prend sans retenue, merci à toi l’inconnu, puisque ce commentaire n’a pas de signature.

  • 2. > Jeux dangereux, 24 janvier 2005, 18:53, par Delphine Lemaire

    Comme il est surprenant de voir comment Chat se laisse pièger et se meurt d’amour pour un rongeur....j’ai lu à mon chat cette jolie fable et je le vois se trémousser de rire en ronronnant....
    Merci de ce joyeux moment Vio....

    • 1. > Jeux dangereux, 8 septembre 2005, 16:46, par Violaine

      je suis impardonnable, je vois la date de ce commentaire Delphine et j’en rougis de honte
      merci à toi ... et à ta fidélité malgré mes silences

  • 3. > Jeux dangereux, 24 janvier 2005, 22:58, par tiock

    joli poème qui n’est pas sans me rappeller un certain matou
    danseur de tango virtuel n’est il pas,,,,,,,, ?,,,,,,,

    • 1. > Jeux dangereux, 8 septembre 2005, 16:47, par Violaine

      Boudiou ma Tiock toi aussi tu es passée par là ?

      Bisoussssssss et merci, oui tu as raison mais depuis le temps à passé sous les ponts .. et l’eau aussi.

  • 4. > Jeux dangereux, 31 janvier 2005, 11:43, par Clo

    Violaine c’est avec un grand plaisir que j’ai trouvé l’endroit où je pourrai enfin de nouveau te lire. Cette fable est une merveille.
    Je m’étonne malgrè tout que la belle n’ait pas craqué !
    Moralité : toutes les femmes ne sont pas stupides !!!

    • 1. > Jeux dangereux, 8 septembre 2005, 16:48, par Violaine

      A souris avisée,
      matou dépité
      A femme coriace,
      le mâle perd la face

      Merci Clo ...

  • 5. > Jeux dangereux, 5 février 2005, 08:03, par Viviane

    je connais une souris qui s’est faite à moitié manger par un matou de cette espèce.. Et qui ne s’en remet pas...Merci Violaine, heureuse de te lire.

    • 1. > Jeux dangereux, 8 septembre 2005, 16:49, par Violaine

      Heureuse de ton commentaire Viviane et ... je vais de ce pas me cacher dans un trou de souris, vu encore une fois le temps ...

  • 6. > Jeux dangereux, 8 mars 2005, 19:43, par BlackCrow

    Une bien jolie fable...
    Justesse des mots...
    Musique du cœur...
    Toujours.

    Je te retrouve.
    Enfin.

    • 1. > Jeux dangereux, 27 janvier 2006, 09:52, par Violaine

      Mon ami ! de l’eau a coulé sous les pont de la Tamise, et tu est toujours cet éclat de bonheur qui vit au fond de mon cœur.
      Si l’amitié devait avoir un nom, ce serait le tien.

  • 7. > Jeux dangereux, 30 mai 2005, 17:09, par genou

    Je viens de passer un très agréablement , j’espère que le chat ne changera pas d’avis, qu’ il ne la croquera que du regard.

    • 1. > Jeux dangereux, 27 janvier 2006, 09:53, par Violaine

      Rire !!! ah voila le commentaire placé au bon endroit ! Je me demandais sur l’autre texte ce que venait faire le chat !

  • 8. Jeux dangereux, 28 juin 2007, 23:07, par Patrick G. Delay

    On pourrait dire à la manière de La Fontaine.
    Très jolie fable.

    • 1. Jeux dangereux, 26 octobre 2007, 21:43, par Violaine

      mon dieu ! 28 juin 2007 ce commentaire est si loin, cela me semble une éternité
      merci ... et pardon de mon absence.

  • 1. > Guernica, 23 janvier 2005, 18:31, par patrcik

    Belle mise en scène qui s’applique à tous les drames puisqu’un moment j’ai pensé au raz-de-marée. Ainsi en est-il des catastrophes, des conflits, des accidents : la vie se déroule globalement paisible puis, à l’image de la goutte qui fait déborder le vase, explose de frayeur avant de retourner à son ordinaire, mais celui-ci est défait et tristesse.
    Ta façon d’écrire est charmante, les mots s’accumulent pour composer un bouquet qu’ici nous déposerons en mémoire des victimes de ça, de là. Merci ....

    • 1. > Guernica, 23 janvier 2005, 20:25, par Delphine Lemaire

      Oui Patrick, c’est exact l’histoire est remplie de tous ces petits instants que l’on croyait paisibles et qui en une fraction de seconde se transforment en cauchemar.
      Les allemands qui durant la guerre civile espagnole ont bombardé ce village tranquille où s’étaient réfugiés des femmes et des enfants fuyant les lieux de combat, ont justifié ce drame en le qualifiant de "simple erreur tactique"...reléguant ainsi les morts au rang de l’inutilité....
      Merci de ta lecture et de ton commentaire...

    • 2. > Guernica, 24 janvier 2005, 17:56, par patrick

      De ces erreurs on retiendra aussi le bombardement américain sur Saint-Etienne, décimant une école englobant élèves et professeurs (cela dit sans aucune volonté de comparer ce que tu cites ou d’en graduer l’horreur) mais les conflits sont ainsi et les innocents (que l’on vient ici de commémorer) le resteront pour l’éternité ...

    • 3. > Guernica, 24 janvier 2005, 19:01, par Delphine Lemaire

      L’homme n’apprend rien de ses erreurs passées.....et combien de victimes innocentes en ont fait les frais...!! Lorsque la guerre frappe à la porte d’un pays, la mort se fraye un passage et fauche au hasard....Un seul être qui perd la vie est un mort de trop....
      Merci Patrick....

  • 2. Guernica, 20 novembre 2005, 10:45, par Vanina H

    Toujours cette façon poétique de nous parler des pires horreurs...
    Sourire

    • 1. Guernica, 20 novembre 2005, 22:25, par Delphine Lemaire

      La violence est tellement banalisée de nos jours que pour dire tous ces drames, la poésie reste certainement la meilleure façon de les raconter pour toucher un peu plus.

      Guernica est une véritable monstruosité, une parmi tant d’autres qui ont traversé l’histoire de chaque pays. Une simple erreur selon l’état major allemand...!!!

      Sourire.

  • 1. > LE CANYON, 22 janvier 2005, 18:15, par Bernard

    J’ai toujours aimé cette comparaison d’une vie avec le flux de la rivière. Celle-ci creuse des canyons...comme autant de roches usées et abimées par la mémoire de l’eau...Comme les cicatrices invisibles de la mémoire de l’âme....
    Merci d’avoir déposé ce texte dans cet espace ;o)

    • 1. > LE CANYON, 22 janvier 2005, 18:23, par Zoltar

      Moi aussi Bernard, j’aime cette image de nos tâtonnements d’humains le long des rives des cours d’eau. Le canyon est un modèle extrême avec les escapements de ses falaises qui symbolisent si bien la difficulté d’être et d’essayer de grandir en sagesse.

  • 2. > LE CANYON, 22 janvier 2005, 22:28, par patrcik

    De l’adret et l’ubac nous pourrions rechercher le ying et le yang, le dessus du dessous mais sans jamais perdre cette ligne de partage (la rivière) qui entre l’un et l’autre (comme Jules et Jim) vacille d’une berge. On se surprendrait même (dans ce texte fort élégant) à s’arrêter sur le tiret posé entre "au" et "dessous" à moins que ce ne fût "au" et "dessus" (il serait d’ailleurs judicieux de fenêtrer la source... tiens, nous ne sortirons jamais de ce flot bonifiant pour les idées), bref, ce tiret tisse pont entre notre "nous" et celui que l’on voudrait être (Hyde et Jekyll ?) comme pour mieux faire apparaître ce gouffre, ce canyon qui inlassablement ce creuse : d’un côté ce que l’on voudrait, de l’autre ce que l’on a... d’un bord ce que l’on voudrait dire, de l’autre ce dont on accouche.
    In fine, nous ne sommes que ce dilemne entre sagesse du corps et folie de l’esprit.
    Merci pour cette émotion ainsi procurée qui entre ses lignes nous donne envie de sautiller d’un mot à l’autre car ici tout est lumière et si ce flot de mots reste impétieux et brouillon, ma foi il est torrent lui aussi.

    • 1. > LE CANYON, 22 janvier 2005, 23:25, par Zoltar

      Merci Patrcik (je ne suis pas sûr de bien l’écrire)

      Oui, on parvient parfois en été, à passer le torrent sans danger.
      Puis lorsque l’hiver arrive, on n’en voit même plus les galets...
      Mais l’essentiel n’est-il pas de rester dans le brouillon de culture ?

      Je suis bien content de te retrouver ici. :o))

  • 3. > LE CANYON, 23 janvier 2005, 15:41, par Delphine Lemaire

    Eh oui Zoltar, la vie pourrait se comparer à l’Amazone, tantôt calme et docile, tantôt fougueuse et impétueuse. J’aime beaucoup moi aussi cette image de canyon que la vie ravine et modèle à son image. Merci de ce très beau texte.

    • 1. > LE CANYON, 25 janvier 2005, 22:46

      Merci de ta lecture Delphine.
      Le mystère de notre quête de connaissance ne peut s’expliquer - partiellement - que par notre soif de revenir à la source de tout en même temps que de parvenir un jour au delta infini qui aboutit à la mer, afin de reprendre le cycle de l’eau, le cycle de la vie.
      Nous sommes pris dans le même tourbillon que les cours d’eau. Notre corps humain est constitué d’eau, à 75 %, comme notre planète océan...

  • 4. > LE CANYON, 29 janvier 2005, 14:49, par François

    Un texte que je vais imprimer pour le déguster plus à l’aise.

    Une métaphore filante emplie de références philosophiques ;-o)
    Que penser de cet adage : On ne baigne jamais deux fois dans le même fleuve ?

    • 1. > LE CANYON, 29 janvier 2005, 16:51

      Merci de ton passage François.
      Tu peux déguster à ta guise. L’eau en est encore pure et... gratuite.
      La métaphore mésopotamienne est facile à comprendre : entre le Tigre et l’Euphrate il faut alterner les bains de jouvence et de sagesse. Tantôt l’un, tantôt l’autre. Jamais deux fois de suite dans le même bain ! :o))
      Non, en fait, cette image reprise par les Grecs signifie clairement que l’eau - qui te démontre continuellement le principe d’Archimède - n’est jamais la même. Les molécules qui ont caressé ta peau la précédente fois sont déjà parties à la mer. Symbole évident du cycle de l’eau...

  • 5. > LE CANYON, 5 février 2005, 08:09, par Viviane

    Un texte d’une richesse à explorer sans fin. C’est bien agréable de te lire, Zoltar, bien agréable et je te retrouve tout entier dans ces mots que tu poses avecla profondeur et le sens de l’image qui sont les tiens .. merci et mille bises pour ce moment philosophique.

    • 1. > LE CANYON, 11 février 2005, 12:18

      Merci ma petite fée de ta lecture éclairée. Voilà si longtemps que j’essaie de devenir sage à tes côtés. Y parviend- 5 sais que je suis né aux sources d’Elle ma mie et ce n’est ni un hasard, ni un présage. L’Elle** est une magnifique rivière poissonneuse* qui fut à la fois mon nid et mon lit. Pour le Poisson que je suis, n’est-ce pas merveilleux ?

      * Rivière à truites notamment

      ** Hélas, elle n’est connue que dans le label Elle & Vire. Que n’ai-je connu la belle Elvire ! ;o))

  • 6. > LE CANYON, 11 février 2005, 06:47, par Clo

    Je m’étais rendue compte depuis bien longtemps que la vie était loin d’être un long fleuve tranquille, mais je n’avais jamais poussé ma réflexion aussi loin.
    C’est un très beau texte très imagé auquel je repenserai souvent en vacances au bord des rivières de nos montagnes où je peux passer des heures à observer le parcours de l’eau.

    • 1. > LE CANYON, 11 février 2005, 11:13

      Oui Clo, un cours d’eau c’est magnifique et gorgé de symboles. Mais il n’y a pas que l’écoulement de l’eau qui est magique. L’ensemble de l’écrin des deux rives est source de richesse, d’interrogations multiples, d’apprentissages éclectiques, et lorsque nous y prenons un peu garde, tous les secrets de la vie sont inscrits de part et d’autre du fleuve :

      les animaux, les plantes, les hommes, leurs créations, leurs ponts & tous les liens entre les choses.

      Mais je crois que j’ai bientôt fini d’explorer la rive gauche. J’ai atteint le niveau de l’amer...

      Tant mieux ! Il me reste encore toute la rive droite avant de remonter à la source qui, comme pour les saumons, sera sans doute la fin de mon voyage. (° ! *)

      Merci de ta lecture attentive Claudie...

  • 7. > LE CANYON, 25 juin 2005, 17:37, par Babou*

    Je suis entièrement d’accord avec toi... la vie est un canyon semé d’embûches... mais c’est merveilleux, car tous les éléments positifs ou négatifs font de nous ce que nous sommes. Et dans les tempêtes de nos vies ne va t’on pas au bout de soi ?? Dans la fragilité de ces moments difficiles ne devient-on pas meilleur ?? Mon canyon me semble sans fin en ce moment... mais c’est si beau la vie !! Alors regarde dans le radeau là bas dans le canyon je me suis accrochée malgré les remous... et je sors parfois la tête de l’eau... regardes moi je suis plus forte que jamais et dans mon sourire tu pourras voir que je tiens bon la barre. A tout bientôt mon enchanteur Babou*

    • 1. > LE CANYON, 26 juin 2005, 11:45, par Zoltar

      Bien sûr que la Vie est merveilleuse Babou !
      Je t’aperçois sur ton frêle esquif juste au milieu des derniers remous, dans un rafting audacieux.

      Bisous Babou

  • 1. > ATALANTE, 25 janvier 2005, 17:20, par Bernard

    Merci Violaine, j’ai vu ton message sur ma Bal , mais celui ci n’apparait ici suite au changement de Base de donnée....Mince !!! Mon premier commentaire ;o)

    • 1. > ATALANTE, 3 août 2005, 19:33, par Bernard Blazin

      et hop, je me réponds :o)

  • 2. > ATALANTE, 11 février 2005, 09:58, par viviane Lamarlère

    Que je l’aime ce poème aux couleurs et rythmes de braise.. bisous Toro..

    • 1. > ATALANTE, 10 mars 2005, 09:26, par Bernard Blazin

      Je mets du temps à répondre Viviane ;o))
      Les braises sont bien froides pour les hiverneux
      bises ;o))

  • 3. > ATALANTE, 9 mars 2005, 21:26, par genou

    > ATALANTE
    2005-03-03 14:28:14 genou

    Bonjour Bernard

    Je suis venue relire ton texte

    que je trouve particulièrement très beau

    malgré le froid éternel

    • 1. > ATALANTE, 10 mars 2005, 09:25, par Bernard Blazin

      Bonjour Genou ;o))
      Oui c’est un peu froid Atalante, mais la guerrière Titanide blesse souvent les pauvres gens à mort, lorsque ceux ci dans le froid, meurent sous leurs ponts quand un gouvernement dit Républicain oublie ses pauvres.
      Oui, ce gouvernement là, fabrique des pauvres et les laisse mourir....C’est une manière de faire du totalitarisme comme pinochet et tant d’autres, tout en se réfugiant sous l’emblême de la dame républicaine...Une honte ! Et hélas personne n’ose elever la voix.

  • 4. ATALANTE, 26 janvier 2006, 08:32, par patrcik

    Sans fautes à lire ou à lire sans faute, les deux font belle paire ! Reste cette "dame" qui peut-être (ou peut être aussi) d’une majuscule s’énivrerait de sa propre grandeur ou candeur.

    Vers touchants, vers moi s’approchent et même si la prose garde mes faveurs, ici est délicat parfum de ... rose.

    • 1. ATALANTE, 26 janvier 2006, 19:24, par Bernard Blazin

      La Dame est froide ..Oui je pense que la majuscule y gagnerait mais en poèsie est-ce la règle ? Je ne le sais pas.
      Il est doux ce commentaire tout en rime pour cette vieille poèsie que, en me vantant un tantinent, je n’avais pas trop mal réussie ;o)

  • 5. ATALANTE, 26 janvier 2006, 20:36, par Zanzibar

    Je découvre maintenant (mieux vaut tard que jamais) je dirais que c’est l’un de tes meilleurs crus. Précision, constance, rythme tout y est, bravo c’est superbe.

    • 1. ATALANTE, 27 janvier 2006, 20:48, par Bernard Blazin

      Merci Zanzibar, mais je suis loin d’être à ton niveau dans cette catégorie..
      J’adore la poèsie mais malheureusement je crois que suis plus à l’aise dans la prose ;o)

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